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India's Foreign Policy Towards China and the United States : an example of hedging ? Lien brisé : non Droits d'accès : non autorisé
Description : L’Inde est une puissance régionale qui, tout en étant un élément essentiel des stratégies américaine, européenne et française en Indopacifique, n’est pas un allié. La guerre en Ukraine a mis en lumière ces réticences indiennes à s’aligner sur les positions européenne et américaine, même si cette ten ...
L’Inde est une puissance régionale qui, tout en étant un élément essentiel des stratégies américaine, européenne et française en Indopacifique, n’est pas un allié. La guerre en Ukraine a mis en lumière ces réticences indiennes à s’aligner sur les positions européenne et américaine, même si cette tendance n’est pas nouvelle. L’enjeu qui découle de ce constat est le suivant : qu’attendre de l’Inde dans le cas d’une hausse des tensions voire conflit entre grandes puissances ? Afin de mieux comprendre la stratégie indienne, qui n’est ni une stratégie de balancing ni du bandwagoning, le concept de hedging (ou ambiguïté stratégique) peut être une piste d’explication. Ce concept est ici compris comme une stratégie qui consiste à maintenir l’ambiguïté quant à l’alignement futur de l’État en s’engageant auprès des deux grandes puissances (ici la Chine et les Etats-Unis) qui ne sont pas évaluées comme des menaces, en maintenant une ambiguïté diplomatique et en diversifiant les partenariats stratégiques. Si le concept de hedging est débattu en relations internationales, la définition utilisée ici rassemble deux éléments importants pour la pertinence du concept : l’ambiguïté et la distinction entre la perception du risque et de la menace. Le hedging peut toutefois être une stratégie coûteuse au fur et à mesure que l’espace pour l’ambiguïté se réduit avec la hausse des tensions entre les deux grandes puissances. Une meilleure compréhension de cette stratégie indienne a des implications concrètes, du point de vue de la France par exemple, dans la perspective de développer le partenariat stratégique avec l’Inde qui fête ses 25 ans en 2023.
Mots clés : Hedging, États-Unis, Non-alignement, Chine, Études stratégiques, Inde
Date : 30-01-2023
Auteur : CHALIVET AMELIE
Directeur du mémoire : HOLEINDRE JEAN-VINCENT, MASSIE JUSTIN
Editeur : Université Panthéon-Assas - Master Relations internationales (finalité indifférenciée)
En savoir plus Fiche descriptive complète India's Foreign Policy Towards China and the United States : an example of hedging ?
Format : Document PDF
Type de contenu : Dissertation

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L’Ibéro-Amérique et la diplomatie linguistique de l’Espagne au XXIe siècle Lien brisé : non Droits d'accès : non autorisé
Description : La longue période coloniale a forgé de nombreux liens entre les pays hispano-américains et l'Espagne. Ils sont notamment historiques, migratoires et culturels. Après la transition démocratique espagnole, l'Ibéro-Amérique, formée par l'Espagne, le Portugal et leurs anciennes colonies américaines deve ...
La longue période coloniale a forgé de nombreux liens entre les pays hispano-américains et l'Espagne. Ils sont notamment historiques, migratoires et culturels. Après la transition démocratique espagnole, l'Ibéro-Amérique, formée par l'Espagne, le Portugal et leurs anciennes colonies américaines devenues indépendantes, redynamise le contact de cette communauté fondée sur un « patrimoine culturel commun ». La langue est un socle fondamental de l'identité de l'Ibéro-Amérique. La langue espagnole est la deuxième langue du monde en termes de locuteurs natifs. L'Espagne veut en tirer parti pour ses intérêts économiques et géopolitiques, alors que la mondialisation favorise l'anglais dans la « guerre des langues ». Depuis la fin des années 1990, Madrid met en place une politique linguistique panhispanique pour gagner en projection internationale. Utiliser ainsi une langue partagée n'est pas sans créer des tensions. Ce mémoire s’interroge sur les relations entre la politique linguistique panhispanique de l'Espagne sur l'Ibéro-Amérique ainsi que les dynamiques de puissance qui s'y jouent. Il s'appuie sur l'étude d'un corpus d'articles de presse latino-américains et de documents institutionnels, ainsi que sur une analyse de l'histoire l’Ibéro-Amérique et des rapports de force internationaux. On verra comment et pourquoi l'Ibéro-Amérique est un enjeu fondamental dans la politique linguistique de l'Espagne. Sa politique doit tenir compte de cette communauté, qui elle-même évolue sous l'effet de cette politique linguistique. La politique linguistique panhispanique de l'Espagne est un succès, mais celui-ci témoigne paradoxalement d'une baisse d'influence de l'Espagne en Ibéro-Amérique.
Mots clés : Relations internationales, Diplomatie culturelle, Diplomatie linguistique, Soft Power, Espagne, Amérique latine
Date : 06-06-2024
Auteur : MASQUELIER ALEXANDRE
Directeur du mémoire : FORCADE OLIVIER, MARCILHACY DAVID
Editeur : Université Panthéon-Assas - Master Relations internationales (finalité indifférenciée)
En savoir plus Fiche descriptive complète L’Ibéro-Amérique et la diplomatie linguistique de l’Espagne au XXIe siècle
Format : Document PDF
Type de contenu : Dissertation

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La communication verbale et non-verbale dans le contexte de la guerre en Ukraine Lien brisé : non Droits d'accès : non autorisé
Description : Ce mémoire étudie la manière dont la communication verbale et non verbale, accompagnée de la médiatisation qui entoure le conflit actuel en Ukraine, a dévoilé un ensemble d'éléments pointant un basculement politique interne et international majeur. Cette analyse pluridisciplinaire reflète en quoi la ...
Ce mémoire étudie la manière dont la communication verbale et non verbale, accompagnée de la médiatisation qui entoure le conflit actuel en Ukraine, a dévoilé un ensemble d'éléments pointant un basculement politique interne et international majeur. Cette analyse pluridisciplinaire reflète en quoi la communication des différents acteurs impliqués dans un conflit permet de comprendre les stratégies de persuasion et d'influence utilisées pour façonner les perceptions nationales et internationales. Le focus sur la guerre actuelle en Ukraine met en avant la communication en temps de guerre en tant qu’outil et espace de transmission d'idées et d'informations, amenant ou renforçant un pivot politique considérable préalablement décidé. Ce cadre spatio-temporel représente un pivot politique crucial, comme en témoignent les changements et les évolutions de la manière dont elle est communiquée, diffusée et médiatisée. Le premier chapitre met en lumière l'importance du lexique employé au cours de cette guerre et le rôle de sa sémantique. Une réflexion qui débouche sur la question de l'impact de la guerre sur la mosaïque linguistique complexe en Ukraine et des changements perçus depuis le début de l’opération spéciale, mais également sur la médiatisation de la guerre, analysée à travers les discours officiels, les techniques de soft power, et l'utilisation massive des réseaux sociaux. Ces réflexions sont suivies d’un second chapitre portant sur la communication non verbale, et sur l'importance de celle-ci dans la formation et la diffusion de l'image présidentielle, tant à l'échelle internationale qu'auprès du public national.
Mots clés : Conflit russo-ukrainien, Communication de guerre, Stratégie d’influence, communication non-verbale, Soft Power
Date : 29-11-2024
Auteur : KHOROSHEVSKIY MILENE
Directeur du mémoire : HOLEINDRE JEAN-VINCENT, MOMZIKOFF-MARKOFF SOPHIE
Editeur : Université Panthéon-Assas - Master Relations internationales (finalité indifférenciée)
En savoir plus Fiche descriptive complète La communication verbale et non-verbale dans le contexte de la guerre en Ukraine
Format : Document PDF
Type de contenu : Dissertation

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La France au Conseil de sécurité pendant la crise en Iraq : de la Résolution 1441 (2002) à l’invasion de l’Iraq Lien brisé : non Droits d'accès : non autorisé
Description : Marquée par le discours de Dominique de Villepin au Conseil de sécurité, la crise en Iraq a été le lieu de l'opposition entre deux visions de l'ordre international : une vision américaine centrée sur l'unilatéralisme, et une vision française promouvant le respect du droit international. Crise de la ...
Marquée par le discours de Dominique de Villepin au Conseil de sécurité, la crise en Iraq a été le lieu de l'opposition entre deux visions de l'ordre international : une vision américaine centrée sur l'unilatéralisme, et une vision française promouvant le respect du droit international. Crise de la non-prolifération, le cas iraquien a vu la mise en place de mesures coercitives d'inspections sur le territoire iraquien. La question de la détention des armes de destruction massive a finalement servi aux Américains de prétexte pour justifier leur évasion. La période entre l'adoption de la résolution 1441 (2002) et l'invasion de l'Iraq en mars 2003 est une intense période marquée pour la France par son refus de cautionner le recours à la force des Etats-Unis. Aucune des justifications invoquées par les Etats-Unis au soutien de leur opération militaire n'était en mesure de justifier celle-ci. La France a veillé à ce que la Résolution 1441 (2002) ne puisse être interprété de façon à justifier cette guerre, à ce que le Conseil de sécurité ne cautionne pas cette opération, y compris en menaçant du recours au veto.
Mots clés : Nations Unies, Agression (droit international), Prolifération des armes de destruction massive, France, Recours à la force (droit international), Droit de veto, Paix et sécurité internationales
Date : 23-04-2020
Auteur : RICHER CHRISTOPHE
Directeur du mémoire : SUR SERGE
Editeur : Université Panthéon-Assas - Master Relations internationales (finalité indifférenciée)
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La pratique du Japon en matière de reconnaissance et de non-reconnaissance d'Etat Lien brisé : non Droits d'accès : non autorisé
Description : La question de la reconnaissance d’État, souvent abordée par la doctrine internationaliste, est couramment étudiée à partir de la pratique des États européens ou de celle des États-Unis d’Amérique. Le présent mémoire propose d’étudier la pratique de l’État japonais en la matière, avec une attention ...
La question de la reconnaissance d’État, souvent abordée par la doctrine internationaliste, est couramment étudiée à partir de la pratique des États européens ou de celle des États-Unis d’Amérique. Le présent mémoire propose d’étudier la pratique de l’État japonais en la matière, avec une attention particulière apportée aux cas des reconnaissances octroyées de manière implicite. Tout en essayant de proposer un panorama le plus complet possible de la pratique contemporaine du Japon en matière de reconnaissance et de non-reconnaissance d’État et de ses spécificités, la présente étude montre que s’il est possible d’établir une typologie des comportements par lesquels le Japon a reconnu des États nouveaux de manière tacite, il n’existe aucun critère absolu permettant d’identifier l’intention de reconnaitre lorsque celle-ci n’est pas manifestée de manière expresse.
Mots clés : Reconnaissance (droit international)?, Japon, Traité de Paris, République de Chine (Taïwan), Relations diplomatiques, République populaire démocratique de Corée (Corée du Nord)?, Reconnaissance (droit international) , République populaire démocratique de Corée (Corée du Nord) 
Date : 27-05-2020
Auteur : COIFFARD MATTHIEU
Directeur du mémoire : WYLER ERIC
Editeur : Université Panthéon-Assas - Master Relations internationales (finalité indifférenciée)
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La Turquie et l’Azerbaïdjan dans la Seconde guerre du Haut-Karabakh : à propos de la licéité du soutien militaire d’États tiers à l’action en légitime défense Lien brisé : non Droits d'accès : non autorisé
Description : Ce mémoire explore la question du soutien militaire fourni par la Turquie à l’Azerbaïdjan lors de la Seconde guerre du Haut-Karabakh en 2020 ayant opposé l’Azerbaïdjan à l’Arménie. À la lumière des principes du jus ad bellum, ce travail vise à cerner la licéité de ce soutien en abordant son étendue ...
Ce mémoire explore la question du soutien militaire fourni par la Turquie à l’Azerbaïdjan lors de la Seconde guerre du Haut-Karabakh en 2020 ayant opposé l’Azerbaïdjan à l’Arménie. À la lumière des principes du jus ad bellum, ce travail vise à cerner la licéité de ce soutien en abordant son étendue et sa signification en termes de politique étrangère, puis en tentant de dresser le régime juridique de la guerre de 2020. Dès lors, le mémoire met en évidence les dynamiques à l’œuvre dans la politique étrangère turque au Sud-Caucase, au sein de laquelle l’Azerbaïdjan occupe une place notable. Depuis la première guerre du Haut-Karabakh en 1993, la Turquie a en effet intensifié ses relations avec l’Azerbaïdjan et fait passer son appui alors diplomatique et politique à un appui militaire substantiel. Or, la teneur du soutien turc en 2020 soulève des questions juridiques - questions dont Ankara apparaît, eut égard son comportement sur la scène internationale, saisir toute la teneur. Les débats concernés peuvent être envisagés par l’étude du régime juridique de la guerre de 2020. Deux principes juridiques sont ici en jeu : le droit à l’autodétermination, et le principe de l'intégrité territoriale. Partant de l’articulation entre ces principes, la détermination de la licéité de l’action militaire de Bakou contre Erevan permet de s’interroger sur la licéité du soutien militaire d’Ankara à Bakou. Cette question de jus ad bellum est elle-même source de débats ayant trait à la mobilisation du droit international par la Turquie à des fins stratégiques ; en particulier s’agissant de la façon dont celle-ci choisit de qualifier - ou non - son soutien militaire à l’Azerbaïdjan.
Mots clés : Turquie, Azerbaïdjan, Karabakh, Conflit armé, Soutien militaire, Droit international
Date : 07-12-2024
Auteur : SOLARI OLIVIA
Directeur du mémoire : FERNANDEZ JULIAN
Editeur : Université Panthéon-Assas - Master Relations internationales (finalité indifférenciée)
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Le sweet power de la Corée du Sud - Repenser la puissance dans un contexte de durcissement des relations internationales Lien brisé : non Droits d'accès : non autorisé
Description : Ce mémoire explore la stratégie de puissance de la Corée du Sud, qui repose en partie sur un "sweet power", une forme de pouvoir fondée sur des valeurs positives et attrayantes, dans un contexte géopolitique complexe qui, pourtant, ne semble pas les favoriser. La croissance économique rapide de la C ...
Ce mémoire explore la stratégie de puissance de la Corée du Sud, qui repose en partie sur un "sweet power", une forme de pouvoir fondée sur des valeurs positives et attrayantes, dans un contexte géopolitique complexe qui, pourtant, ne semble pas les favoriser. La croissance économique rapide de la Corée du Sud peut être perçue comme une « revanche », une réponse à son passé colonial et à son statut d'ancienne nation réceptrice d'aide. Elle parvient à devenir un "aid giver" et cherche à renforcer son image de puissance volontaire à travers sa réussite "exemplaire" et son soutien aux pays en développement. La Corée du Sud utilise également cette stratégie pour se projeter comme une puissance moyenne, en se servant de ces caractéristiques de puissance pour légitimer sa position, et tenter d’entretenir une image de puissance non menaçante et valorisant le multilatéralisme. Le développement de la stratégie de "sweet power" passe également par l’exportation de sa culture (la hallyu) et par une diplomatie qui met l'accent sur la coopération internationale. Dans un second temps, l’analyse aborde les défis géopolitiques auxquels la Corée du Sud fait face, notamment la menace sécuritaire de la Corée du Nord. Cette rivalité avec son voisin direct renforce l’image « douce » que l’on peut avoir de la Corée du Sud, qui se distingue en adoptant une posture plus ouverte et coopérative. En s’inscrivant dans le système international dénoncé par la Corée du Nord, elle se dote ainsi d’un statut de puissance libérale. Cependant, le pays se trouve pris dans un contexte international qui n’est pas toujours favorable, où la montée des tensions avec la Chine, le Japon et les États-Unis fragilise sa position. La Corée du Sud doit naviguer avec prudence dans ce monde multipolaire, notamment si elle souhaite s’appuyer sur sa stratégie "sweet" et garder cohérence et légitimité. Sa stratégie de "sweet power" est donc à la fois un outil de légitimation de la puissance coréenne et une réponse à son contexte stratégique.
Mots clés : Corée du Sud, Sweet power, Stratégie de puissance, Relations internationales
Date : 28-01-2025
Auteur : DESPLANCHE MAIWENN
Directeur du mémoire : HOLEINDRE JEAN-VINCENT
Editeur : Université Panthéon-Assas - Master Relations internationales (finalité indifférenciée)
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Stratégies gouvernementales pour le développement de l’énergie nucléaire civile : Pratiques françaises et américaines sur le marché des centrales nucléaires Lien brisé : non Droits d'accès : non autorisé
Description : La France est actuellement le deuxième exportateur mondial de centrales nucléaires derrière les Etats-Unis. L’entreprise française Areva est le leader mondial de l’énergie nucléaire et le premier constructeur de centrales devant les entreprises américano-japonaises Toshiba/Westinghouse et General El ...
La France est actuellement le deuxième exportateur mondial de centrales nucléaires derrière les Etats-Unis. L’entreprise française Areva est le leader mondial de l’énergie nucléaire et le premier constructeur de centrales devant les entreprises américano-japonaises Toshiba/Westinghouse et General Electric/Hitachi. Nous pouvons nous demander lequel, de la France ou des Etats-Unis, dispose des meilleurs atouts pour profiter de la croissance attendue de l’énergie nucléaire dans les années à venir. Or, les pratiques françaises et américaines sur le marché des centrales nucléaires sont très différentes. Un élément joue un rôle déterminant : l’action de l’Etat par rapport à l’énergie nucléaire. Celle-ci peut s’analyser dans trois dimensions : par rapport au marché intérieur, par rapport au marché mondial et par rapport à l’industrie nucléaire. L’objectif de ce mémoire est d’examiner le rôle des gouvernements français et américains dans le développement historique du marché des centrales nucléaires afin de pouvoir apprécier la position concurrentielle de ces deux pays.
Mots clés : Energie nucléaire, France, Etats-Unis d'Amérique, Relations internationales
Date : 11-04-2025
Auteur : PIRAM KEYVAN
Directeur du mémoire : SUR SERGE
Editeur : Université Panthéon-Assas - Master Relations internationales (finalité indifférenciée)
En savoir plus Fiche descriptive complète Stratégies gouvernementales pour le développement de l’énergie nucléaire civile : Pratiques françaises et américaines sur le marché des centrales nucléaires
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