Naviguer par :
- Accueil
- Mémoires
-
Thèses
-
NouveautésRecherche de nouveautés dans les thèses
-
Recherche avancéeRecherche de ressources
-
Par auteurRecherche par auteur
-
Par annéeRecherche par année de soutenance
-
Par laboratoireRecherche par laboratoire
-
Par thèmeRecherche thématique
-
Par école doctoraleRecherche par école doctorale
- Toutes les thèses
-
Nouveautés
- Publications de recherche
- Tous les documents
Fiche descriptive
- Vous êtes ici :
- Accueil
- »
- Fiche descriptive
???menu.description..???
La notion de victime dans les relations sexuelles vénales (Document en Français)
Accéder au(x) document(s) :
Auteur(s) : BRIAND CAPUCINE
Directeur du mémoire : MORVAN PATRICK
Éditeur(s) : Université Panthéon-Assas - Master Droit pénal et sciences pénales
Date de création : 20-10-2023
Description : Le présent mémoire s’intéresse aux statuts attribués d’une part aux femmes qui se prostituent, et d’autres part à celles qui sont actrices pornographiques, tout en développant l’hypothèse qu’elles peuvent toutes être considérées comme les exécutantes de relations sexuelles vénales. En particulier, ce travail a vocation à interroger la disparité de ces statuts. Pourquoi lutter officiellement et systématiquement contre la prostitution, quand la pornographie la plus violente est autorisée ? Pourquoi imposer aux personnes prostituées le statut abstrait de “victime de la prostitution”, sans s’émouvoir de leur accès si difficile à la justice lorsqu’elles sont victimes d’infractions ? Comment comprendre que la pitié inspirée par les exécutantes de relations sexuelles vénales cesse lorsqu’elles sont victimes d’infractions de droit commun ? Pourquoi leur consentement intéresse-t-il tant lorsqu’il porte sur leur pratique des relations sexuelles vénales, mais si peu lorsqu’elles déposent plainte pour viol ? Ces questions sont au cœur d’un certain nombre de travaux, principalement féministes, mobilisés dans la présente étude. En revanche, peu ont étudié la pornographie et la prostitution en partant du principe qu’elles reposaient sur la même pratique, celle des relations sexuelles vénales. C’est pourquoi la première étape du raisonnement proposé est la démonstration de l’artificialité des statuts attribués aux personnes prostituées et aux actrices pornographiques, toutes exécutantes de relations sexuelles vénales (Partie I). La seconde étape du raisonnement a vocation à expliquer pourquoi ces statuts prédéfinis entravent la protection des victimes parmi les exécutantes de relations sexuelles vénales (Partie II).
Mots-clés libres : Prostitution, Pornographie, Infractions sexuelles, Statut de victime, Relations sexuelles vénales
Directeur du mémoire : MORVAN PATRICK
Éditeur(s) : Université Panthéon-Assas - Master Droit pénal et sciences pénales
Date de création : 20-10-2023
Description : Le présent mémoire s’intéresse aux statuts attribués d’une part aux femmes qui se prostituent, et d’autres part à celles qui sont actrices pornographiques, tout en développant l’hypothèse qu’elles peuvent toutes être considérées comme les exécutantes de relations sexuelles vénales. En particulier, ce travail a vocation à interroger la disparité de ces statuts. Pourquoi lutter officiellement et systématiquement contre la prostitution, quand la pornographie la plus violente est autorisée ? Pourquoi imposer aux personnes prostituées le statut abstrait de “victime de la prostitution”, sans s’émouvoir de leur accès si difficile à la justice lorsqu’elles sont victimes d’infractions ? Comment comprendre que la pitié inspirée par les exécutantes de relations sexuelles vénales cesse lorsqu’elles sont victimes d’infractions de droit commun ? Pourquoi leur consentement intéresse-t-il tant lorsqu’il porte sur leur pratique des relations sexuelles vénales, mais si peu lorsqu’elles déposent plainte pour viol ? Ces questions sont au cœur d’un certain nombre de travaux, principalement féministes, mobilisés dans la présente étude. En revanche, peu ont étudié la pornographie et la prostitution en partant du principe qu’elles reposaient sur la même pratique, celle des relations sexuelles vénales. C’est pourquoi la première étape du raisonnement proposé est la démonstration de l’artificialité des statuts attribués aux personnes prostituées et aux actrices pornographiques, toutes exécutantes de relations sexuelles vénales (Partie I). La seconde étape du raisonnement a vocation à expliquer pourquoi ces statuts prédéfinis entravent la protection des victimes parmi les exécutantes de relations sexuelles vénales (Partie II).
Mots-clés libres : Prostitution, Pornographie, Infractions sexuelles, Statut de victime, Relations sexuelles vénales
Type : Dissertation
Format : Document PDF
Format : Document PDF
Entrepôt d'origine :
Identifiant : univ-pantheon-assas-ori-17761
Type de ressource : Ressource documentaire
Identifiant : univ-pantheon-assas-ori-17761
Type de ressource : Ressource documentaire