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Protection du corps humain et volonté individuelle en droit pénal (Document en Français)
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Auteur(s) : Gontier, Pénélope
Directeur du mémoire : LEPAGE AGATHE
Éditeur(s) : Université Panthéon-Assas - Master Droit pénal et sciences pénales
Date de création : 01-01-2011
Description : La personne humaine, constituée d’un corps et d’une volonté, ne peut être dissociée ni de l’un ni de l’autre. La volonté ne peut se réaliser que dans la mesure où le corps est en vie. Sitôt que le corps est mort, la volonté disparaît. Le corps est le révélateur empirique, physique de l’être humain. Il est même le « sanctuaire biologique de la personne ». La distinction réalisée entre ce qui est tangible et ce qui ne l’est pas provient de l’étymologie du mot corps, lequel a eu historiquement comme sens premier d’illustrer l’opposition entre le corps et l’âme, conformément à la tradition philosophico-religieuse. C’est bien plus tard que le sens du mot s’est enrichi, soulignant ainsi l’attachement du terme à la personne humaine. Le corps renvoie précisément à l’organisme humain, à ce qui est chair. Il ne peut se comprendre pour la fiction juridique qu’est la personne morale et qui naturellement est exclue de nos développements. Chaque société a développé sa conception propre du corps. Pour illustration, dans les sociétés africaines, le corps est l’expression d’un ordre social par des marquages corporels tels que des peintures, des scarifications, ou certaines mutilations. Aussi le rapport au corps peut-il diverger selon les sociétés.
Mots-clés libres : Corps humain, Droit pénal
Directeur du mémoire : LEPAGE AGATHE
Éditeur(s) : Université Panthéon-Assas - Master Droit pénal et sciences pénales
Date de création : 01-01-2011
Description : La personne humaine, constituée d’un corps et d’une volonté, ne peut être dissociée ni de l’un ni de l’autre. La volonté ne peut se réaliser que dans la mesure où le corps est en vie. Sitôt que le corps est mort, la volonté disparaît. Le corps est le révélateur empirique, physique de l’être humain. Il est même le « sanctuaire biologique de la personne ». La distinction réalisée entre ce qui est tangible et ce qui ne l’est pas provient de l’étymologie du mot corps, lequel a eu historiquement comme sens premier d’illustrer l’opposition entre le corps et l’âme, conformément à la tradition philosophico-religieuse. C’est bien plus tard que le sens du mot s’est enrichi, soulignant ainsi l’attachement du terme à la personne humaine. Le corps renvoie précisément à l’organisme humain, à ce qui est chair. Il ne peut se comprendre pour la fiction juridique qu’est la personne morale et qui naturellement est exclue de nos développements. Chaque société a développé sa conception propre du corps. Pour illustration, dans les sociétés africaines, le corps est l’expression d’un ordre social par des marquages corporels tels que des peintures, des scarifications, ou certaines mutilations. Aussi le rapport au corps peut-il diverger selon les sociétés.
Mots-clés libres : Corps humain, Droit pénal
Type : Dissertation
Format : Document PDF
Format : Document PDF
Entrepôt d'origine :
Identifiant : univ-pantheon-assas-ori-1192
Type de ressource : Ressource documentaire
Identifiant : univ-pantheon-assas-ori-1192
Type de ressource : Ressource documentaire