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STAR : dépôt national des thèses électroniques françaises
La justice pénale devant la Cour de Parlement, de Saint Louis à Charles IV (vers 1230-1328) Lien brisé : non Droits d'accès : non autorisé
Description : La justice pénale constitue, à partir du règne de Saint Louis, une part importante de l’activité de la Cour du roi. En effet, tandis que se développe, notamment grâce à son intervention, un véritable « État de droit » dès le milieu du XIIIe siècle, le nombre d’affaires pénales portées devant elle ne ...
La justice pénale constitue, à partir du règne de Saint Louis, une part importante de l’activité de la Cour du roi. En effet, tandis que se développe, notamment grâce à son intervention, un véritable « État de droit » dès le milieu du XIIIe siècle, le nombre d’affaires pénales portées devant elle ne cesse de s’accroître, et leur résolution constitue bientôt un domaine où s’élabore une politique judiciaire spécifique dont il y a lieu de déterminer les objectifs, les moyens et les résultats. Les décisions prises par ce qui devient le « Parlement » tendent à s’inscrire dans le prolongement des idées du temps sur le devoir incombant à la royauté de punir les infractions et de maintenir la paix, tout en révélant une confrontation régulière des juges aux difficultés inhérentes au caractère composite de l’organisation judiciaire et à l’enchevêtrement des coutumes, privilèges et autres droits propres. L’application d’une justice conforme aux idéaux de la royauté passe de manière nécessaire et préalable par la fixation d’un cadre judiciaire et juridique respectueux des droits acquis, mais également porteur d’obligations pour les juges pénaux du royaume. La cour souveraine les contraint ainsi au respect d’un certain nombre de principes, hérités pour partie de ceux qu’elle-même définit comme les fondements du procès pénal dans le cadre de son propre « style » naissant. La manière de résoudre le trouble provoqué par l’acte délictueux devient donc essentielle : après en avoir défini les éléments nécessaires à l’imputation d’une faute punissable, la cour applique et fait appliquer des peines toujours minutieusement « arbitrées » selon l’importance du dommage et l’intention coupable manifestée. La poursuite des crimes, le règlement de juges, la résolution des litiges entre juges et justiciables, sont autant de lieux privilégiés de la défense de la « chose publique », la cour s’assurant par là que les « crimes ne demeureront pas impunis », même si la part de la miséricorde demeure toujours réservée : ils seront traités par voie de droit, c’est-à-dire selon un droit pénal royal conforme à « ce que recommande la justice
Mots clés : Justice pénale -- Administration, Politique criminelle
Auteur : Tuttle Liêm
Année de soutenance : 2014
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En savoir plus Fiche descriptive complète La justice pénale devant la Cour de Parlement, de Saint Louis à Charles IV (vers 1230-1328)
Directeur : Leyte Guillaume, Carbasse Jean-Marie
Établissement de soutenance : Paris 2
Discipline : Histoire du droit et des institutions
Thème : Droit
École doctorale : École doctorale histoire du droit, philosophie du droit et sociologie du droit (Paris)

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La laïcité : le pilier de l'identité républicaine turque Lien brisé : non Droits d'accès : non autorisé
Description : Depuis la fondation de la République Turque en 1923, la laïcité constitue le principe le plus discuté et controversé, notamment car le rejet d’un des autres principes n’a jamais été perçu, comme c’est le cas pour la laïcité, comme impliquant un rejet de la République elle-même. Que signifie la laïci ...
Depuis la fondation de la République Turque en 1923, la laïcité constitue le principe le plus discuté et controversé, notamment car le rejet d’un des autres principes n’a jamais été perçu, comme c’est le cas pour la laïcité, comme impliquant un rejet de la République elle-même. Que signifie la laïcité pour la Turquie ? Le renforcement de l’autorité des élites ? Ou le sens de la République ? Aujourd’hui, comment comprenons-nous la laïcité, et avons-nous besoin de la redéfinir ? Sans réaliser une analyse poussée des fondements socio-religieux du pays, les travaux étudiant la laïcité turque ont tendance à se borner à des descriptions formelles et rigides. La laïcité est le principe juridique exprimant la neutralité de l’État envers toutes les croyances religieuses, et sa purification de toutes références religieuses. Néanmoins dans les faits, nous n’avons jamais vu une telle application de laïcité, si pure et théorique. Ce qui fait de la laïcité un instrument d’oppression est en réalité, un ensemble de symboles et de mythes encerclant le sens de la laïcité. Cet ensemble de symboles et de mythes constitue une religion politique, rigide et incontestable. Pour cette raison, les travaux étudiant l’application du principe de laïcité ont perçu les symboles de la religion politique comme une laïcité distincte et particulière. Dans notre travail, nous allons étudier les bases historiques et philosophiques de la laïcité en Turquie. Notre but est de mettre en relief les origines de la laïcité et son évolution en tant que religion politique, opposée à l’Islam traditionnel et politique. Dans la dernière partie de notre travail, nous allons étudier la laïcité en Turquie dans le contexte de la démocratie, à la lumière de la jurisprudence de la Cour Européenne des Droits de l’Homme, afin de savoir s’il est nécessaire de la redéfinir.
Mots clés : Laïcité, Républicanisme
Auteur : Aktan Yusuf
Année de soutenance : 2014
En savoir plus Fiche descriptive complète La laïcité : le pilier de l'identité républicaine turque
Directeur : Portelli Hugues
Établissement de soutenance : Paris 2
Discipline : Droit public
Thème : Droit
École doctorale : Ecole doctorale Georges Vedel Droit public interne, science administrative et science politique (Paris)

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STAR : dépôt national des thèses électroniques françaises
La limitation des droits de l'homme au nom de la morale : étude de la jurisprudence de la Cour européenne des droits de l'homme Lien brisé : non Droits d'accès : non autorisé
Description : Cette étude traite de la question de l’inter-normativité entre le droit et la morale dans le domaine spécifique de la limitation des droits de l’homme au nom de la morale, et dans le champ juridique formé par la jurisprudence de la Cour européenne des droits de l’homme. Même si la Convention europée ...
Cette étude traite de la question de l’inter-normativité entre le droit et la morale dans le domaine spécifique de la limitation des droits de l’homme au nom de la morale, et dans le champ juridique formé par la jurisprudence de la Cour européenne des droits de l’homme. Même si la Convention européenne comporte déjà un but de restriction de la protection de la morale, le sujet de la thèse requiert une conceptualisation plus large et moins formelle du phénomène à analyser. La notion de « norme morale limitative » peut alors être utilisée pour couvrir l’ensemble des modes de pertinence de la morale en sa fonction de limitation des droits. La thèse examine l’introduction de la norme morale limitative dans le contentieux européen à travers l’inter-normative nationale, et vérifie son niveau de pertinence lors de la désignation de l’applicabilité de la Convention. Elle établit le contexte axiologique de l’ordre public européen dans lequel la norme morale est évaluée. L’examen de la question, en tenant compte des différents types de valeur que la norme morale peut viser à protéger ou promouvoir, met en lumière l’affaiblissement juridique des motifs moralistes et paternalistes dans la justification de la limitation des droits. En revanche, la norme morale limitative devient plus difficilement contestable dans l’argumentation lorsqu’elle se veut protectrice d’autrui. Toutefois, la zone d’interférence entre la morale et la protection d’autrui est en mutation. Ce dernier facteur devient exclusivement pertinent dans le domaine des conflits axiologiques émergents, en limitant la norme morale limitative à des matières de réglementation plus classiques.
Mots clés : Justice (philosophie), Droit et morale, Internormativité, Droits de l'homme (droit européen)
Auteur : Birden Emre
Année de soutenance : 2014
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En savoir plus Fiche descriptive complète La limitation des droits de l'homme au nom de la morale : étude de la jurisprudence de la Cour européenne des droits de l'homme
Directeur : Decaux Emmanuel
Établissement de soutenance : Paris 2
Discipline : Droit international
Thème : Droit
École doctorale : École doctorale de droit international, droit européen, relations internationales et droit comparé (Paris)

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La matérialité de l'infraction à l'épreuve des extensions du principe de territorialité Lien brisé : non Droits d'accès : non autorisé
Description : Avec le développement de la criminalité et de la délinquance internationale, de nombreuses infractions se réalisent partiellement ou totalement hors du territoire de la République. Afin de soumettre ces infractions comportant un élément d’extranéité au droit pénal français, le législateur et les jur ...
Avec le développement de la criminalité et de la délinquance internationale, de nombreuses infractions se réalisent partiellement ou totalement hors du territoire de la République. Afin de soumettre ces infractions comportant un élément d’extranéité au droit pénal français, le législateur et les juridictions internes tentent de ramener ces dernières sur le territoire de la République en établissant un lien entre le territoire national et l’infraction transnationale. A défaut pour le territoire d’être modifié, l’infraction est manipulée. Par conséquent, les règles de sa consommation vont se trouver altérées pour les besoins de sa localisation. La présente étude conduit à dégager une progression dans l’artifice qui consiste à retenir un critère de rattachement, soit appartenant à l’élément matériel de l’infraction mais ne pouvant pas être pris en compte, soit n’appartenant pas à l’élément matériel de l’infraction, et donc ne devant pas être pris en compte
Mots clés : Extranéité, Compétence territoriale, Points de rattachement (droit international privé), Acte criminel, Crime organisé
Auteur : Joly Marine
Année de soutenance : 2014
En savoir plus Fiche descriptive complète La matérialité de l'infraction à l'épreuve des extensions du principe de territorialité
Directeur : Mayaud Yves
Établissement de soutenance : Paris 2
Discipline : Droit privé
Thème : Droit
École doctorale : École doctorale de droit privé (Paris)

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La médiatisation des intellectuels dans les débats publics africains (1960-2000) Lien brisé : non Droits d'accès : non autorisé
Description : L’affirmation que les médias constituent le « quatrième pouvoir » semble appartenir à ces évidences que l’on ne questionne pas toujours tant de la part des professionnels des médias que de certains intellectuels. Vérité qui semble d’autant plus évidente que les médias en démontrent l’effectivité par ...
L’affirmation que les médias constituent le « quatrième pouvoir » semble appartenir à ces évidences que l’on ne questionne pas toujours tant de la part des professionnels des médias que de certains intellectuels. Vérité qui semble d’autant plus évidente que les médias en démontrent l’effectivité par leur capacité à mobiliser les publics autour d’un événement ou encore d’une série télévisuelle. Pour ne pas transformer une telle assertion en un « concept mou », il fallait la mettre à l’épreuve en l’appliquant à un contexte (le Sénégal) et à une époque (1960-2000), et surtout à un groupe particulier, celui des intellectuels. L’avantage de ce groupe est qu’il est doté de compétences (savoir et savoir-faire) lui donnant un « pouvoir » symbolique. C’est ainsi que dans le contexte sénégalais, ces derniers consolideront au fil du temps leur « puissance » par l’intermédiaire des divers supports (revues, romans, essais, etc.), mais aussi par les débats publics et les grandes manifestations intellectuelles (congrès, symposiums, festivals, etc.). Ces divers modes de légitimation et de consécration qui prouvent leur degré d’engagement, seront confrontés aux médias qui, en se multipliant à partir des années 80, développent des stratégies d’influence fondées sur la visibilité et l’utilisation accrue des langues nationales. Ce qui aura comme effets émergents non seulement de faire émerger de nouvelles légitimités sociales, mais encore de dégager de nouvelles configurations socioculturelles, politiques, intellectuelles et publiques, notamment une figure intellectuelle plus attentive aux créations culturelles locales.
Mots clés : Intellectuels, Débats et controverses, Médias -- Influence, Littérature et société, Influence littéraire, artistique, etc., Médias
Auteur : Mendy Dominique François
Année de soutenance : 2014
En savoir plus Fiche descriptive complète La médiatisation des intellectuels dans les débats publics africains (1960-2000)
Directeur : Rieffel Rémy
Établissement de soutenance : Paris 2
Discipline : Sciences de l'information et de la communication
Thème : Bibliothéconomie et sciences de l'information
École doctorale : École doctorale des sciences économiques et gestion, sciences de l'information et de la communication (Paris)

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La monnaie comme objet de sûretés Lien brisé : non Droits d'accès : non autorisé
Description : Partant du constat que l’affectation en garantie de la monnaie est aujourd’hui susceptible de revêtir de multiples qualifications et d’obéir à des régimes tout aussi divers, selon que la monnaie est analysée comme un bien corporel ou incorporel et selon que les sommes affectées en garantie sont ou n ...
Partant du constat que l’affectation en garantie de la monnaie est aujourd’hui susceptible de revêtir de multiples qualifications et d’obéir à des régimes tout aussi divers, selon que la monnaie est analysée comme un bien corporel ou incorporel et selon que les sommes affectées en garantie sont ou non confondues dans le patrimoine du créancier, cet essai propose d’adopter une conception unifiée de la monnaie susceptible de la soumettre à un régime simplifié d’affectation en garantie qui, sans faire fi de l’irréductible dualité tenant au caractère individualisé ou non des sommes d’argent, est appelé à remplacer les actuels gage de choses fongibles, nantissement de compte, nantissement de créance ou fiducie-sûreté sur créances et sommes d’argent, par un unique nantissement de monnaie. Les modalités de constitution de ce nantissement seront propres à évincer les sempiternelles querelles sur le caractère ou non translatif de propriété du « gage-espèces » puisque la confusion des sommes nanties dans le patrimoine du créancier nanti opérera un démembrement de propriété sui generis qui, s’apparentant à un quasi-usufruit à titre de garantie, ne conférera au créancier ni un simple droit de préférence, ni un droit de propriété plein et entier, ni même un droit comparable à celui d’un fiduciaire, mais un droit de disposer à titre provisoire grevant temporairement la propriété restée entre les mains du constituant. Ses conditions de constitution ainsi clarifiées, le nantissement de monnaie pourra se réaliser plus rapidement et plus efficacement par la reconstitution de la propriété démembrée entre les mains du constituant ou du créancier nanti, selon que la dette garantie aura ou non été payée, sans même qu’il soit besoin s’interroger sur le fait de savoir s’il faut recourir à l’attribution judiciaire ou conventionnelle ou à la compensation.
Mots clés : Monnaie, Gage (droit), Choses fongibles, Consignation, Débiteur et créancier, Argent (monnaie)
Auteur : Lemaitre Freddy
Année de soutenance : 2014
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En savoir plus Fiche descriptive complète La monnaie comme objet de sûretés
Directeur : Grimaldi Michel
Établissement de soutenance : Paris 2
Discipline : Droit privé
Thème : Droit
École doctorale : École doctorale de droit privé (Paris)

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La portée de la constitution en France et en Chine : l'enchantement et le désenchantement du constitutionnalisme révolutionnaire Lien brisé : non Droits d'accès : non autorisé
Description : Le constitutionnalisme révolutionnaire en France et en Chine est enraciné profondément dans l’histoire pré-moderne. La Révolution de 1789, ainsi que les trois Constitutions consécutives, en 1791, 1793 et 1795, ont combiné la « Constitution » et la « révolution » d’une façon sans précédent. Une logiq ...
Le constitutionnalisme révolutionnaire en France et en Chine est enraciné profondément dans l’histoire pré-moderne. La Révolution de 1789, ainsi que les trois Constitutions consécutives, en 1791, 1793 et 1795, ont combiné la « Constitution » et la « révolution » d’une façon sans précédent. Une logique semblable s’expose dans le parcours historique de ces deux pays. La Déclaration de 1789 et la Constitution de 1791 ont ouvert la voie vers un futur idéal, qui fut bientôt désenchanté par les conflits réels, surtout par la lutte entre l’autorité royale et le pouvoir législatif. De même, après la fin de la dynastie en Chine, on a aperçu également le conflit entre les pouvoirs exécutif et législatif, par lequel la « Première République » a été conduite dans une impasse. Au fur et à mesure de la turbulence de la Révolution, on assiste à la succession de plusieurs textes constitutionnels des deux côtés, qui reflètent la ressemblance non seulement entre les girondins et le Kuomintang, mais aussi entre les Montagnards et le Parti communiste chinois. Inaugurés semblablement par un coup d’État, les régimes « thermidoriens » ont été mis sur pied tant en France qu’en Chine. La Constitution de 1795 a tenté de maintenir le pouvoir aux mains des thermidoriens pour éviter la nouvelle dictature, mais sans succès. Au contraire, le régime communiste chinois s’efforce également de contrôler le pouvoir, avec succès, grâce à l’institution révisée selon la circonstance. Ainsi, compte tenu du rôle du Parti, le processus du constitutionnalisme se présente plus étendu en Chine. Pour ces deux pays, le constitutionnalisme révolutionnaire révèle effectivement le destin commun dans l’ère de modernité.
Mots clés : Constitutionnalisme, Droit constitutionnel, Révolutions
Auteur : Gong Ke
Année de soutenance : 2014
En savoir plus Fiche descriptive complète La portée de la constitution en France et en Chine : l'enchantement et le désenchantement du constitutionnalisme révolutionnaire
Directeur : Morange Jean
Établissement de soutenance : Paris 2
Discipline : Droit public
Thème : Droit
École doctorale : Ecole doctorale Georges Vedel Droit public interne, science administrative et science politique (Paris)

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La présence de la politique dans les médias au Japon : l'ingérence de la politique et les stratégies médiatiques du pouvoir face à l'évolution des médias Lien brisé : non Droits d'accès : non autorisé
Description : Dans la société d’aujourd’hui, les médias sont indispensables et très importants pour les activités des citoyens. Les médias se sont développés avec les évolutions des systèmes sociaux et économiques aussi bien qu'avec les avancées technologiques. Les médias ont été utilisés par les autorités pour l ...
Dans la société d’aujourd’hui, les médias sont indispensables et très importants pour les activités des citoyens. Les médias se sont développés avec les évolutions des systèmes sociaux et économiques aussi bien qu'avec les avancées technologiques. Les médias ont été utilisés par les autorités pour le contrôle de la société pendant la période de la guerre quand la liberté d’expression était sévèrement limitée. Cependant, après l’époque de l’Occupation, le Japon a gagné le statut de régime démocratique où les médias peuvent s’exprimer librement. Le système de 1955, qui a assuré la domination d'un parti du parlement ( le PLD ) sans interruption pendant 38 ans, a été rendu possible par les conditions propres à la situation politique au Japon. Par contre, plus tard, les médias ont largement contribué à la chute de ce système politique solide ayant duré si longtemps. Désormais, les médias ont tendance à exercer une grande influence sur la politique. D’autre part, les autorités ont commencé à prendre des mesures pour le contrôle des médias en leur faveur, ce qui est une ingérence dans les médias et une pression considérable sur leurs activités d’expression. Dans une situation où la liberté des médias est limitée, les citoyens, en revanche, ont réagi face aux autorités avec des moyens nouveaux, et la relation entre les médias et la politique devient plus essentielle pour nous de nos jours.
Mots clés : Médias et politique, Liberté d'expression, Presse et politique
Auteur : Kawada Yutaka
Année de soutenance : 2014
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En savoir plus Fiche descriptive complète La présence de la politique dans les médias au Japon : l'ingérence de la politique et les stratégies médiatiques du pouvoir face à l'évolution des médias
Directeur : Balle Francis
Établissement de soutenance : Paris 2
Discipline : Science politique
Thème : Science politique
École doctorale : Ecole doctorale Georges Vedel Droit public interne, science administrative et science politique (Paris)

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La prise en compte de l'intérêt du cocontractant Lien brisé : non Droits d'accès : non autorisé
Description : La prise en compte de l’intérêt du cocontractant, ayant une particularité conceptuelle suffisante, n’agit pas au service principal de l’intérêt égoïste ou de l’intérêt commun. Dynamique relationnelle, altruisme, et altérité de base des intérêts, en caractérisent donc une théorie pure. Quant à sa réa ...
La prise en compte de l’intérêt du cocontractant, ayant une particularité conceptuelle suffisante, n’agit pas au service principal de l’intérêt égoïste ou de l’intérêt commun. Dynamique relationnelle, altruisme, et altérité de base des intérêts, en caractérisent donc une théorie pure. Quant à sa réalité théorique en droit contractuel, elle est fondée sur un principe de fraternité. Il constitue d’abord son support conceptuel, à l’exclusion de la solidarité dont il se distingue, son contenu correspondant à la triple dynamique délimitant la théorie pure de la notion. Il est ensuite son fondement réel, permettant de dépasser les limites de ses fondements concurrents – la bonne foi ou le solidarisme contractuel –, et le principe-axiome rendant compte de celle-ci. Quant à sa réalité matérielle le constat est qu’une partie de l’évolution de la théorie classique des obligations et contrats se matérialise par telle prise en compte. Cette dernière se manifeste d’une part, comme tempérament au principe de liberté contractuelle, tantôt comme norme positive de comportement – dans la bonne foi relationnelle, et l’obligation d’information renforcée –, tantôt comme limite à une prérogative contractuelle – dans le contrôle de l’abus et potentiellement, l’obligation de minimiser le dommage. Elle se manifeste d’autre part, comme aménagement du principe de la force obligatoire, opérant lors de la survenance d’une difficulté d’exécution étrangère au partenaire – dans l’obligation de renégociation du contrat, et potentiellement la théorie de l’imprévision –, ou d’une difficulté inhérente à celui-ci – dans les mesures de grâce, et la législation d’aménagement du surendettement des particuliers.
Mots clés : Parties (droit), Intérêt personnel, Altruisme, Bonne foi (droit), Solidarité (droit), Intérêt (droit)
Auteur : Mehanna Myriam
Année de soutenance : 2014
En savoir plus Fiche descriptive complète La prise en compte de l'intérêt du cocontractant
Directeur : Mazeaud Denis
Établissement de soutenance : Paris 2
Discipline : Droit privé
Thème : Droit
École doctorale : École doctorale de droit privé (Paris)

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STAR : dépôt national des thèses électroniques françaises
La problématique de la gouvernance politique en Afrique : sociogenèse et enjeux de la crise de l'Etat-Nation en Côte d'ivoire Lien brisé : non Droits d'accès : non autorisé
Description : Cette thèse porte sur la crise ivoirienne dans ce qu’elle décline de pluralité étiologique, de complexité dimensionnelle mais également d’intérêt épistémologique et heuristique en raison des pistes analytiques qu’elle ouvre et permet. Elle enracine la crise dans le « sol des fondations » développeme ...
Cette thèse porte sur la crise ivoirienne dans ce qu’elle décline de pluralité étiologique, de complexité dimensionnelle mais également d’intérêt épistémologique et heuristique en raison des pistes analytiques qu’elle ouvre et permet. Elle enracine la crise dans le « sol des fondations » développementalistes et du diffusionnisme des modèles étatiques à l’épreuve de la donne endogène. L’Houphouëtisme, conception pragmatiste du pouvoir, structure en grande partie la trajectoire ivoirienne postcoloniale marquée par le double cycle de la stabilité et de l’implosion crisogène. La crise structurelle de l’État-nation ivoirien a un complexe étiologique pluriel (économique, social, foncier, migratoire, politique, biopolitique). La faillite du modèle agro-exportateur a servi de terreau fertile à la triple crise socio- économique, politique et militaire. La phénoménologie belligène puise, en réalité, dans des causes lointaines et structurelles. Manipulant l’autochtonie et la différence ethnique à des fins politiciennes, les entrepreneurs politiques ivoiriens semblent avoir choisi le pouvoir au détriment de la nation. L’ivoirité, en tant qu’idéologie d’exclusion, est, en réalité, un outil biopolitique au service de la préservation tant du pouvoir que de l’hégémonie politique. Elle symbolise autant la déhouphouëtisation que la rupture du consensus social. Autant l’ethnie n’est pas, selon nous, une momie autant l’ivoirité ne constitue point ici un disque dur étiologique. Plus profondes et structurelles, les causes de la crise ivoirienne s’enracinent tant dans la généalogie que dans la trajectoire de l’État-nation à la construction inachevée. Renversant le paradigme marxiste, nous donnons ici le primat au politique sur l’économique dans une réalité ivoirienne marquée par la double faiblesse du secteur privé et de la société civile, conférant à la sphère étatique et son immense manne une importance néopatrimoniale. La rébellion et le recours aux armes comme moyens concurrentiels dans la conquête du pouvoir et la partition consacrent la fracture de l’État-nation, aggravée par la crise post électorale de 2010/2011. La prégnance des enjeux politiques n’empêche point de recourir à l’interparadigmité ainsi qu’à la bénéfique connexion des sciences pour un éclairage politologique, et au-delà, une exploration de ce champ épistémique que constitue la Côte d’Ivoire « dans » et « avec » le Monde.
Mots clés : Politique et gouvernement -- Côte d'Ivoire, Crises politiques, Biopolitique, Nation, Hégémonie, Gouvernance
Auteur : Traoré Yaya
Année de soutenance : 2014
En savoir plus Fiche descriptive complète La problématique de la gouvernance politique en Afrique : sociogenèse et enjeux de la crise de l'Etat-Nation en Côte d'ivoire
Directeur : Portelli Hugues
Établissement de soutenance : Paris 2
Discipline : Science politique
Thème : Science politique
École doctorale : Ecole doctorale Georges Vedel Droit public interne, science administrative et science politique (Paris)

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