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Gibraltar : le « Brexit » et le droit international public Lien brisé : non Droits d'accès : non autorisé
Description : Cédé en 1713 par l’Espagne au Royaume-Uni, Gibraltar constitue un point de tension centenaire entre les deux Etats dont l’opposition est réanimée par le processus incroyablement technique que constitue le « Brexit ». Trois questions centrales ressortent de l’étude de la situation du Rocher. Il est d ...
Cédé en 1713 par l’Espagne au Royaume-Uni, Gibraltar constitue un point de tension centenaire entre les deux Etats dont l’opposition est réanimée par le processus incroyablement technique que constitue le « Brexit ». Trois questions centrales ressortent de l’étude de la situation du Rocher. Il est d’abord utile de s’intéresser à l’incidence du « Brexit » sur la non autonomie de Gibraltar qui demeure sur la liste des territoires non-autonomes de l’Organisation des Nations unies (ONU). La sortie du Royaume-Uni de l’Union européenne, loin de permettre la réalisation du droit à l‘autodétermination des Gibraltariens semble confirmer la légitimité de l’inscription du territoire sur la liste de l’ONU. Par ailleurs, le « Brexit », bien que ça ne soit pas là son objet, aura des conséquences sur le différend territorial opposant l’Espagne au Royaume-Uni. Cela s’explique notamment par le crédit que l’Union européenne semble accorder aux prétentions espagnoles alors même qu’elle le lui refusait lorsque le Royaume-Uni était encore un Etat membre. Enfin, il apparait nécessaire d’étudier l’influence que le « Brexit » aura sur le droit tel qu’il sera applicable sur le territoire. Gibraltar se trouve en effet être un paradis fiscal maintes fois épinglé par la Commission européenne ainsi qu’un centre économique nécessaire au développement de l’Espagne du sud. Si l’avenir de Gibraltar est encore incertain à cette date, le « Brexit » n’étant pas un processus abouti, il est d’ores et déjà possible de formuler des conjonctures et quelques observations.
Mots clés : Gibraltar, Droit à l'autodétermination, Différend territorial, Espagne, BREXIT, Royaume-Uni
Date : 28-05-2020
Auteur : GICQUEAU, Flore
Directeur du mémoire : ALLAND DENIS
Editeur : Université Panthéon-Assas - Master Droit international public
En savoir plus Fiche descriptive complète Gibraltar : le « Brexit » et le droit international public
Format : Document PDF
Type de contenu : Dissertation

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L'intervention armée sollicitée dans le cadre des conflits armés non internationaux. Mali, Iraq, Syrie, Yémen. Lien brisé : non Droits d'accès : non autorisé
Description : En droit international, l’idée qu’un Etat puisse solliciter l’aide militaire d’un autre sur son propre territoire n’est pas surprenante et ne pose pas de réel problème de licéité, a priori. Dans le cadre d’un conflit armé non international se déroulant sur le territoire de ce même Etat, la notion d’ ...
En droit international, l’idée qu’un Etat puisse solliciter l’aide militaire d’un autre sur son propre territoire n’est pas surprenante et ne pose pas de réel problème de licéité, a priori. Dans le cadre d’un conflit armé non international se déroulant sur le territoire de ce même Etat, la notion d’intervention sollicitée soulève de nombreuses interrogations juridiques. L’application des principes classiques que sont la non-intervention, la neutralité, la non-ingérence dans les affaires internes d’un Etat, l’autodétermination et le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes sont autant de bornes à la possibilité pour un Etat d’intervenir militairement à la demande d’un gouvernement étranger. A cet égard, la présente recherche se propose d’étudier la notion d’intervention sollicitée et la manière dont elle est utilisée dans l’argumentation juridique des Etats afin de justifier sur le plan du droit international, leur immixtion armée dans un conflit interne. A cette fin, quatre situations contemporaines nous occuperons. Il s’agit des conflits non internationaux se déroulant en Iraq, au Mali, en Syrie et au Yémen. La première partie a pour objectif d’analyser l’utilisation de la notion d’intervention sollicitée sous le prisme de l’Etat requis, celui qui reçoit effectivement la demande d’assistance. La seconde partie tente d’analyser le principe de l’intervention sollicitée, non plus à travers les lunettes de l’Etat intervenant, qui tente inlassablement de justifier cette intervention, mais sous le prisme du comportement de l’Etat requérant.
Mots clés : Intervention sollicitée, Consenteme, Conflit armé non international, Légitime défense collective, Responsabilité de protéger, Etat défaillant, Lutte contre le terrorisme, Contre-mesures sollicitées
Date : 04-01-2021
Auteur : DEMBELE FANTA
Directeur du mémoire : SANTULLI CARLO
Editeur : Université Panthéon-Assas - Master Droit international public
En savoir plus Fiche descriptive complète L'intervention armée sollicitée dans le cadre des conflits armés non internationaux. Mali, Iraq, Syrie, Yémen.
Format : Document PDF
Type de contenu : Dissertation

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L’obligation de rapatriement des individus en droit international public Lien brisé : non Droits d'accès : non autorisé
Description : Curieux est, en droit international, le cas du terme de rapatriement, qui traverse tous les domaines d’étude – de la question du retour des prisonniers de guerre à celui des réfugiés, des étrangers sous le coup d’une expulsion aux gens de mer – sans jamais avoir fait l’objet, dans l’un d’entre eux, ...
Curieux est, en droit international, le cas du terme de rapatriement, qui traverse tous les domaines d’étude – de la question du retour des prisonniers de guerre à celui des réfugiés, des étrangers sous le coup d’une expulsion aux gens de mer – sans jamais avoir fait l’objet, dans l’un d’entre eux, de particulièrement d’intérêt, et encore moins d’une conceptualisation transversale. Pourtant, la problématique pratique de l’organisation du retour de certains individus sur le territoire d’un certain Etat, loin d’avoir été abandonnée au droit privé du travail, des assurances ou des transports, n’a cessé d’interroger la place que les Etats eux-mêmes se doivent d’y jouer – interrogation qui a connu, ces dernières années, un éclairage médiatique inédit à travers la question du rapatriement des sympathisants de l’Etat Islamique depuis la Syrie et de la fermeture des frontières due à la pandémie Covid-19. Sous quelles conditions un Etat se trouve-t-il obligé, en vertu du droit international, d’organiser le rapatriement d’un individu vers un certain territoire ? Ce projet de recherche, en retraçant l’histoire du rôle de l’Etat dans le rapatriement des individus, de ses origines westphaliennes jusqu’à ses perspectives d’évolution sous l’influence universaliste des droits de l’Homme, tente de surmonter les zones d’obscurité théorique autour de la notion de rapatriement pour proposer, à cette question sans cesse rencontrée et cependant rarement confrontée, une réponse pragmatique.
Mots clés : Rapatriement, Réfugiés, Prisonniers de guerre, Réadmission, Migration, Expulsion
Date : 15-09-2022
Auteur : BECIRSPAHIC LEA
Directeur du mémoire : ALOUPI NIKI
Editeur : Université Panthéon-Assas - Master Droit international public
En savoir plus Fiche descriptive complète L’obligation de rapatriement des individus en droit international public
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Type de contenu : Dissertation

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L'utilisation de l'espace extra-atmosphérique à des fins pacifiques : signification et portée du principe Lien brisé : non Droits d'accès : non autorisé
Description : Le principe des utilisations de l’espace extra-atmosphérique à des fins pacifiques constitue un principe cardinal du régime de l’espace extra-atmosphérique. Coutumier, ce principe a également valeur conventionnelle, consacré à l’article IV du « Traité de l’espace » qui constitue la pierre angulaire ...
Le principe des utilisations de l’espace extra-atmosphérique à des fins pacifiques constitue un principe cardinal du régime de l’espace extra-atmosphérique. Coutumier, ce principe a également valeur conventionnelle, consacré à l’article IV du « Traité de l’espace » qui constitue la pierre angulaire de son régime. Or l’application de ce principe est soumise à divers enjeux d’ordre stratégico-militaire et juridique qui en réduisent significativement la portée normative. La première partie de ce mémoire se concentre sur l’ambiguïté de la notion d’utilisation de l’espace à des fins pacifiques, qui a inévitablement conduit à son interprétation et de fait à la réduction de sa portée. Qualifié en doctrine de « principe légal en trompe l’œil », son interprétation autorise la militarisation passive totale et la militarisation active (ou arsenalisation) partielle de l’espace. A titre illustratif, l’article IV du Traité de l’Espace exclut les armes conventionnelles du régime de prohibition des armes dans l’espace. La seconde partie de ce mémoire traite des instruments juridiques internationaux envisagés pour renforcer la portée dudit principe. Or une solution tant juridiquement contraignante que non-contraignante semble loin d’être trouvée. Préalablement à toute considération sur le développement d’un jus ad bellum et d’un jus in bello in spatialis, il convient de se demander si l’aspect « environnemental » de l’arsenalisation de l’espace pourrait contribuer à renforcer l’autorité du principe, la multiplication dans l’espace des débris spatiaux, un phénomène préjudiciable à l’environnement spatial et inévitablement corrélé à l’arsenalisation de l’espace.
Mots clés : Débris spatiaux, Militarisation, Traité de l'espace, Arsenalisation, Espace extra-atmosphérique
Date : 24-04-2020
Auteur : MAISONNAVE, Sixtine
Directeur du mémoire : ALOUPI NIKI
Editeur : Université Panthéon-Assas - Master Droit international public
En savoir plus Fiche descriptive complète L'utilisation de l'espace extra-atmosphérique à des fins pacifiques : signification et portée du principe
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La compétence personnelle passive Lien brisé : non Droits d'accès : non autorisé
Date : 12-06-2010
Auteur : Bourguignon, Jonathan
Directeur du mémoire : CAHIN GERARD
Editeur : Université Panthéon-Assas - Master Droit international public
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La connaissance acquise de l'État Lien brisé : non Droits d'accès : non autorisé
Description : La connaissance acquise de l’État est souvent appréhendée comme une condition de la manifestation de la volonté de l’État en droit international. Ses effets vont cependant au-delà de cette seule hypothèse : il peut être nécessaire d’établir la connaissance acquise de l’État dans le cadre d’une oblig ...
La connaissance acquise de l’État est souvent appréhendée comme une condition de la manifestation de la volonté de l’État en droit international. Ses effets vont cependant au-delà de cette seule hypothèse : il peut être nécessaire d’établir la connaissance acquise de l’État dans le cadre d’une obligation de due diligence par exemple… Or établir la connaissance acquise de l’État n’est pas chose aisée ; en effet, l’État est par essence une entité abstraite, on voit alors poindre les premières difficultés puisqu’il ne peut, par lui-même penser, et donc connaitre. Dans le même ordre d’idée, la connaissance est un acte de la pensée. Il est donc également périlleux de prouver la connaissance acquise d’un fait. La jurisprudence internationale a, malgré tout, su s’adapter, en recourant notamment à une variété d’outils probatoires (preuves directes, indirectes et présomptions) et en élaborant des concepts tels que l’ignorance illégitime. Dans cet ensemble, il est certain que l’existence ou non de communications est centrale. Ce mémoire se propose donc d’étudier comment les juridictions internationales parviennent (ou non) à démontrer la connaissance acquise d’un État.
Mots clés : Droit international, Manifestation de volonté, Connaissance, Due diligence, Preuve, Présomption, État, Ignorance
Date : 24-01-2024
Auteur : DUVERGÉ ADRIEN
Directeur du mémoire : ALLAND DENIS
Editeur : Université Panthéon-Assas - Master Droit international public
En savoir plus Fiche descriptive complète La connaissance acquise de l'État
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Type de contenu : Dissertation

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Le conseil de paix et de sécurité de l'Union africaine Lien brisé : non Droits d'accès : non autorisé
Description : Dans le cadre du passage de l’Organisation de l’Unité africaine à l’Union africaine en 2002, la Conférence des chefs d’États et de gouvernement a décidé d’intensifier l’intégration africaine. Bénéficiant d’une compétence en matière de paix et de sécurité, l’organisation crée le Conseil de paix et de ...
Dans le cadre du passage de l’Organisation de l’Unité africaine à l’Union africaine en 2002, la Conférence des chefs d’États et de gouvernement a décidé d’intensifier l’intégration africaine. Bénéficiant d’une compétence en matière de paix et de sécurité, l’organisation crée le Conseil de paix et de sécurité de l’UA, institué par un protocole à l’Acte constitutif en date du 9 juillet 2002. En consacrant un organe par le biais d’un protocole distinct de l’Acte constitutif de l’UA, l’Organisation consacre un organe institutionnel regroupant les différents États membres afin de parvenir à des positions communes en matière de paix et de sécurité en Afrique. Cependant, malgré un renforcement institutionnel continu et la mise en place d’une Architecture africaine de paix et de sécurité, les résultats restent décevants avec la persistance d’une instabilité, d’une insécurité et de conflits armés récurrents. Il parait dès lors nécessaire de se pencher sur ces différents outils et instruments consacrés par l’UA dans ce domaine afin de comprendre l’évolution institutionnelle voulue et ses conséquences dans les foyers de tensions en Afrique. Ainsi, au cours de ce travail de recherches, il conviendra de se questionner sur l’efficacité d’une telle évolution institutionnelle ayant abouti à la consécration du Conseil de paix et de sécurité de l’UA, en abordant le droit institutionnel de l’Union africaine et du CPS. Cette réflexion permettra également de se pencher sur l’aspect opérationnel du maintien de la paix et de la sécurité, en abordant le rôle effectif de cet organe dans la promotion et la maintien de la paix, de la sécurité et de la stabilité.
Mots clés : Union africaine, Maintien de la paix, Organisations internationales, Droit institutionnel, Droit des traités, Terrorisme, Conseil de paix et de sécurité
Date : 31-01-2024
Auteur : RIFFI ABED
Directeur du mémoire : SUR SERGE
Editeur : Université Panthéon-Assas - Master Droit international public
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Les assurances de l’Etat étranger dans le contentieux français de l’extradition Lien brisé : non Droits d'accès : non autorisé
Description : Dans le contentieux de l’extradition, les assurances d’un Etat étranger représentent des promesses, des garanties et sont transmises par voies diplomatiques à l’Etat requis. Elles ont une double fonction, à la fois celle de contourner les motifs de refus de l’extradition, au bénéfice de l’Etat requé ...
Dans le contentieux de l’extradition, les assurances d’un Etat étranger représentent des promesses, des garanties et sont transmises par voies diplomatiques à l’Etat requis. Elles ont une double fonction, à la fois celle de contourner les motifs de refus de l’extradition, au bénéfice de l’Etat requérant, mais aussi celle de protéger les droits et les libertés fondamentaux des individus, au bénéfice de l’extradé. Dans le contentieux français, les assurances sont généralement demandées par l’Etat requis, la France, lors de trois hypothèses : lorsque les faits pour lesquels l’extradition est demandée sont susceptibles d’être punis par la peine capitale ; lorsque la personne risque de subir des actes de torture, des traitements cruels, inhumains ou dégradants ; lorsque la personne risque de ne pas bénéficier des garanties fondamentales du procès. L’Etat requérant fournit alors des assurances évitant ainsi que le juge oppose à l’extradition, l’ordre public français, ou des obligations internationales souscrites par la France dans des conventions protégeant les droits de l’homme, en particulier la Convention européenne de sauvegarde des droits de l’homme et des libertés fondamentales. Les assurances sont donc des actes particuliers. Emanant d’un Etat étranger, elles prennent la forme de la promesse unilatérale en droit international public dont la régularité sera appréciée par le juge français de l’extradition.
Mots clés : Extradition, Droits fondamentaux, Promesse, Etat étranger, Ordre public, Acte unilatéral
Date : 04-03-2020
Auteur : BILLARD CLEMENCE
Directeur du mémoire : SANTULLI CARLO
Editeur : Université Panthéon-Assas - Master Droit international public
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Les organisations internationales et le droit de la conservation de la biodiversité dans les zones maritimes au-delà des juridictions nationales Lien brisé : non Droits d'accès : non autorisé
Description : Plus des deux-tiers de la surface des océans ne sont soumis a? aucune juridiction nationale, et sont libres d’utilisation par tous, conformément au principe historique de liberté de la haute mer, garanti par la Convention des Nations Unies sur le Droit de la Mer de 1982. Les ressources de ce vaste e ...
Plus des deux-tiers de la surface des océans ne sont soumis a? aucune juridiction nationale, et sont libres d’utilisation par tous, conformément au principe historique de liberté de la haute mer, garanti par la Convention des Nations Unies sur le Droit de la Mer de 1982. Les ressources de ce vaste espace ne sont pour autant pas inépuisables et sont menacées par l’augmentation de la température et l’acidification des océans, combinée aux pratiques persistantes de surpêche et de pollution. La conservation de la biodiversité de la haute mer et de la zone des grands fonds marins ne peut faire l’objet que d’efforts communs et concertés entre les États y déployant des activités. Cette coopération s’est institutionnalisée par le biais d’organisations internationales plus ou moins spécialisées. Sujets secondaires de droit international mais incontournables au sein de la gouvernance océanique, leur activité normative et opérationnelle participe à l’évolution du droit de la mer, d’un droit stato-centré individualiste à un droit poursuivant la réalisation de buts communs. Malgré leur contribution significative à la création de la norme en matière de conservation, les organisations sont limitées dans leur capacité à appliquer le droit en la matière. Elles doivent en effet composer avec des restrictions inhérentes à leur nature même, elles sont limitées dans leur moyen de production normative, et sont confrontées a? des difficultés diverses liées a? la méconnaissance des océans, a? l’inégalité des moyens dont disposent les États, ainsi qu’aux réticences politiques. Leur avenir en la matière reste prometteur, à la lumière du nouveau traité de protection de la haute mer, dit « Accord BBNJ ».
Mots clés : Droit de la mer, pêche, biodiversité, Organisations internationales
Date : 07-12-2024
Auteur : HUDRY MARIANNE
Directeur du mémoire : ALOUPI NIKI
Editeur : Université Panthéon-Assas - Master Droit international public
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Les préalables procéduraux dans la jurisprudence comparée de la Cour internationale de Justice et des tribunaux arbitraux en matière d’investissement Lien brisé : non Droits d'accès : non autorisé
Description : La présente étude porte sur trois préalables procéduraux, omniprésents dans la pratique conventionnelle : la règle de l’épuisement préalable des recours internes, le préalable procédural national et la négociation préalable. Ces trois exigences sont qualifiées de préalables précisément parce que leu ...
La présente étude porte sur trois préalables procéduraux, omniprésents dans la pratique conventionnelle : la règle de l’épuisement préalable des recours internes, le préalable procédural national et la négociation préalable. Ces trois exigences sont qualifiées de préalables précisément parce que leur satisfaction doit intervenir préalablement à l’introduction de l’instance, et leur respect conditionne en réalité la possibilité pour la juridiction de se prononcer sur le fond de la demande. Tantôt dévoilant une certaine politique ou stratégie jurisprudentielle, tantôt un simple choix dicté par les besoins d’une bonne administration de la justice, le choix du juge ou de l’arbitre de la qualification de l’exception tirée du non-respect du préalable procédural d'exception d'incompétence ou d'irrecevabilité est, en principe, déterminant pour le sort du différend qui lui est soumis, et corollairement, pour la possibilité du demandeur d’accéder au prétoire international. Ce mémoire se propose ainsi de faire état de ces choix de qualifications, pour tenter d’identifier le traitement qui est réservé à ces préalables par le juge ou l’arbitre, permettant de déterminer leur régime, si un traitement uniforme il y en a. Or, traditionnellement, en règle générale, les tribunaux arbitraux chargés d’appliquer le droit international des investissements, imprégné du droit international public, s’appuyaient largement sur la jurisprudence de la CIJ sur la question. Toutefois, simple influence n’est pas suivisme aveugle, d’où l’intérêt d’une analyse comparative de la jurisprudence de la CIJ et des tribunaux arbitraux en matière d’investissement sur cette question.
Mots clés : Préalables procéduraux, Exception d'incompétence, Négociation préalable, Exception d'irrecevabilité, Epuisement préalable des recours internes, Exceptions préliminaires, Préalable procédural national, Affaire Géorgie c. Russie
Date : 03-03-2020
Auteur : VOLOU, Alexandra
Directeur du mémoire : SANTULLI, Carlo
Editeur : Université Panthéon-Assas - Master Droit international public
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