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  • Université Panthéon-Assas - Master Droit et contentieux de l’Union Européenne (finalité indifférenciée)
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Citoyenneté de l'Union et marchandisation de la nationalité des États membres Lien brisé : non Droits d'accès : non autorisé
Description : Depuis son origine, la construction de la citoyenneté de l’Union, à la merci des humeurs étatiques, oscille entre avancement et rétrogression. Le phénomène de marchandisation de la nationalité des États membres n’échappe pas à ce constat. Il s’agit d’une décision individualiste qui place l’ensemble ...
Depuis son origine, la construction de la citoyenneté de l’Union, à la merci des humeurs étatiques, oscille entre avancement et rétrogression. Le phénomène de marchandisation de la nationalité des États membres n’échappe pas à ce constat. Il s’agit d’une décision individualiste qui place l’ensemble de la construction européenne aux abois. Ce, en raison du profond lien demeurant entre nationalité des États membres et citoyenneté de l’Union. Alors que la citoyenneté de l’Union essuie une crise, la Commission européenne et le Parlement européen y trouvent l’opportunité d’engager une entière redéfinition de leur rapport au statut, mais surtout de leur rapport à ses bénéficiaires, les citoyens. Cette redéfinition se profile, d’une part, sur le point de la compétence étatique exclusive de définition des conditions d’acquisition et de perte de la nationalité, et de facto de la citoyenneté de l’Union, à laquelle l’Union n’entend pas, comme à son habitude, laisser libre cours. D’autre part, concernant la substance du statut de citoyen qui, dès lors, n’apparaît plus pouvoir être considéré dans sa dimension fonctionnelle mais statutaire, aux yeux de la Commission européenne et du Parlement européen, devant ainsi traduire un lien particulier avec les citoyens bénéficiaires, duquel découle une protection sur la seule base de la possession du statut. Un statut qui, pour déployer ses potentialités et être épargné des présages du phénomène de marchandisation, pourrait être, dans une certaine mesure, amené à s’autonomiser. Le rapport entre Union et citoyens devenant ainsi pleinement direct.
Mots clés : Citoyenneté de l'Union européenne, Construction de l'Union européenne, Institutions de l'Union européenne, Marchandisation, Nationalité des États membres, Citoyenneté par investissement
Date : 01-06-2022
Auteur : KAUFFMANN ADELE
Directeur du mémoire : ILIOPOULOU-PENOT ANASTASIA
Editeur : Université Panthéon-Assas - Master Droit et contentieux de l’Union Européenne (finalité indifférenciée)
En savoir plus Fiche descriptive complète Citoyenneté de l'Union et marchandisation de la nationalité des États membres
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L'accès aux documents et à l'information au sein de la Cour de justice de l'Union européenne Lien brisé : non Droits d'accès : non autorisé
Mots clés : Accès aux documents et à l'information, Cours de justice de l'Union Européenne, CJUE, Transparence de la justice
Date : 14-06-2021
Auteur : Martial, Cléa
Directeur du mémoire : PICOD FABRICE
Editeur : Université Panthéon-Assas - Master Droit et contentieux de l’Union Européenne (finalité indifférenciée)
En savoir plus Fiche descriptive complète L'accès aux documents et à l'information au sein de la Cour de justice de l'Union européenne
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L'allocation des fonds européens aux pays de l'Est et leur conditionnalité Lien brisé : non Droits d'accès : non autorisé
Description : Autrefois symboles d’un élargissement réussi de l’Union européenne, la Pologne et la Hongrie violent depuis quelques années frontalement et fréquemment l’État de droit, consacré par l’article 2 du TUE comme une valeur fondamentale commune aux États membres. La multiplication des atteintes portées à ...
Autrefois symboles d’un élargissement réussi de l’Union européenne, la Pologne et la Hongrie violent depuis quelques années frontalement et fréquemment l’État de droit, consacré par l’article 2 du TUE comme une valeur fondamentale commune aux États membres. La multiplication des atteintes portées à l’État de droit et l’inefficacité des instruments, tant préventifs que coercitifs, de préservation de cette valeur ont conduit les institutions européennes à réagir. Le 2 mai 2018, la Commission européenne a proposé d’introduire, dans le cadre du prochain budget pluriannuel (2021-2027), une nouvelle forme de conditionnalité. Celle-ci consisterait à lier l’allocation des fonds de la politique de cohésion au respect de l’État de droit par les États membres. Très attrayant, le recours à l’arme budgétaire pourrait rapidement dissuader les États membres à l’Est de l’Union, principaux bénéficiaires des fonds européens, de poursuivre leurs réformes judiciaires controversées. Cependant, le dispositif proposé est pernicieux pour la cohésion européenne déjà fragilisée par diverses crises : politiquement entre les États membres contributeurs et bénéficiaires au budget, mais également pour l’économie européenne dans son ensemble et pour les citoyens européens qui deviendraient victimes par ricochet des choix politiques de leurs gouvernements. Bien que le mécanisme envisagé est ambitieux à bien des égards, existent-ils d’autres alternatives moins attentatoires à la cohésion au sein de l’Union européenne ? Quel rôle la Cour de justice pourrait-elle jouer dans l’actuelle crise de l’État de droit ?
Mots clés : Union européenne, Fonds européen, Conditionnalité, Etat de droit, Pays de l'Est, Politique de cohésion, Budget
Date : 26-06-2020
Auteur : DZIEWIT BENALLAOUA, Myriam
Directeur du mémoire : PICOD FABRICE, DUBOUT EDOUARD
Editeur : Université Panthéon-Assas - Master Droit et contentieux de l’Union Européenne (finalité indifférenciée)
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L’articulation entre le règlement relatif aux subventions étrangères et le contrôle des concentrations Lien brisé : non Droits d'accès : non autorisé
Description : « Dans quelle mesure le règlement relatif aux subventions étrangères s’articule-t-il avec le contrôle des concentrations ? » est la question à laquelle ce mémoire tente d’apporter une réponse argumentée. Alors que les concentrations d’entreprise et les aides d’État sont strictement contrôlées au sei ...
« Dans quelle mesure le règlement relatif aux subventions étrangères s’articule-t-il avec le contrôle des concentrations ? » est la question à laquelle ce mémoire tente d’apporter une réponse argumentée. Alors que les concentrations d’entreprise et les aides d’État sont strictement contrôlées au sein de l’Union européenne, il devenait nécessaire d’apporter une réponse aux subventions non réglementées provenant de pays tiers et plus particulièrement à celles qui sont destinées à financer directement ou indirectement l’acquisition d’entreprises européennes. Le règlement n°2022/2560 du 14 décembre 2022 prévoit trois instruments applicables depuis le 12 juillet 2023, pour contrôler l’effet de distorsion dans le marché intérieur induit par les subventions de pays tiers : (1) un instrument ex- officio pour contrôler toutes les subventions étrangères faussant le marché intérieur (FSR, chapitre 2) ; (2) une procédure de notification ex ante des des contributions financières étrangères dans le cadre des concentrations d’entreprise (FSR, chapitre 3) ; (3) une procédure de notification préalable des contributions financières étrangères dans le cadre des procédures de passation de marchés publics ou de concessions (FSR, chapitre 4). Ce travail de recherche étudie rigoureusement la doctrine pour pallier l’absence de jurisprudence précise sur ce sujet qui demeure très récent. Bien que des clarifications de la Commission européenne sur ses clés d’analyse soient attendues par les entreprises, les lignes directrices n’interviendront qu’en janvier 2026.
Mots clés : Subvention étrangère, Contrôle des concentrations, Droit de l'Union européenne, Droit de la concurrence
Date : 20-12-2024
Auteur : ELFASSY LIORA
Directeur du mémoire : MARTUCCI FRANCESCO
Editeur : Université Panthéon-Assas - Master Droit et contentieux de l’Union Européenne (finalité indifférenciée)
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L'introduction de l'euro numérique et ses aspects juridiques Lien brisé : non Droits d'accès : non autorisé
Description : La transformation de l’économie a, depuis quelques années, conduit à l’émergence de nouvelles formes de « monnaie », dont les crypto-monnaies. Des modèles moins risqués comme les stable-coins poussent les états et leurs banques centrales à réagir pour maintenir leur souveraineté monétaire et leur mo ...
La transformation de l’économie a, depuis quelques années, conduit à l’émergence de nouvelles formes de « monnaie », dont les crypto-monnaies. Des modèles moins risqués comme les stable-coins poussent les états et leurs banques centrales à réagir pour maintenir leur souveraineté monétaire et leur monopole dans l’émission et circulation de la monnaie, respectivement. Depuis Octobre 2020, la BCE s’est mise, à son tour, à la course pour développer sa propre version de l’euro numérique. L’euro numérique bouleverse le concept classique de la « monnaie » et conduit à revoir ce qu’on peut considérer aujourd’hui comme étant de la « monnaie » au sens juridique du terme. Ce chantier de l’insertion de l’euro numérique pose certaines questions juridiques dont la plus pertinente, qui est d’ordre institutionnel, concerne la compétence de la BCE, en vertu des Traités, pour l’émission d’un euro numérique. Plusieurs bases juridiques sont possibles en fonction du mode de conception, chacune posant ses propres défis. La BCE doit, en tout cas, rester prudente quant au choix final, car elle n’est pas à l’abri des tensions qui peuvent prendre la forme d’un recours juridictionnel, visant l’annulation du projet dans son ensemble. Sa qualification entrainera l’application d’un cadre juridique mais des ajustements serons sans doute nécessaires. Enfin, le passage vers le numérique pose d’autres questions, notamment sur le rôle des banques commerciales mais aussi côté droits fondamentaux et leur protection, à l’heure ou une citoyenneté européenne numérique semble naitre.
Mots clés : Euro numérique, Bitcoin, Stable-coin, Monnaie, Cours légal, Compétences de l'Union Européenne
Date : 30-05-2022
Auteur : TSELIKAS-BOUZEAU Nicolas
Directeur du mémoire : MARTUCCI FRANCESCO
Editeur : Université Panthéon-Assas - Master Droit et contentieux de l’Union Européenne (finalité indifférenciée)
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La conditionnalité du versement des fonds européens au respect de l'État de droit. Règlement 2020/2092 dit « Conditionnalité état de droit » Lien brisé : non Droits d'accès : non autorisé
Description : Le Règlement 2020/2092 relatif à un régime général de conditionnalité pour la protection du budget de l’Union établit « les règles nécessaires à la protection du budget de l’Union en cas de violation de l’Etat de droit dans un Etat membre » (Article 1er). Il matérialise un lien entre le respect de l ...
Le Règlement 2020/2092 relatif à un régime général de conditionnalité pour la protection du budget de l’Union établit « les règles nécessaires à la protection du budget de l’Union en cas de violation de l’Etat de droit dans un Etat membre » (Article 1er). Il matérialise un lien entre le respect de l’Etat de droit et les intérêts financiers de l’Union sous le prisme de la conditionnalité. L’adoption de ce dispositif s’inscrit dans un contexte de manquements répétés de certains Etats membres aux exigences liées au respect de l’Etat de droit, de défaut d’efficience des procédures et enfin, dans l’opportunité de la consécration d’un plan de relance économique. Ainsi, si un pays se rend coupable de violations des principes de l’Etat de droit, l’Union peut décider de suspendre les aides financières à destination de ce dernier. Il permet d’éviter que le budget européen ne soit utilisé à mauvais escient par des gouvernements agissant en contradiction avec les valeurs de l’Union et de sanctionner financièrement les Etats coupables de violations de l’Etat de droit. L’Union a ainsi contourné son défaut de coercition en suspendant l’octroi de fonds européens aux Etats récalcitrants. Ce travail de recherche aborde les problématiques inhérentes à la consécration et à la mise en œuvre future de ce dispositif : Comment le lien entre Etat de droit et protection des intérêts financiers/budget de l’Union est-il effectué et justifié ? Comment le Règlement peut-il être juridiquement appliqué et comment garantir son efficacité ? Va-t-il permettre de pallier aux insuffisances des mécanismes préexistants de protection de l’Etat de droit ?
Mots clés : Plan de relance, Etat de droit, Valeurs de l'Union, Crises de l'Union, Budget de l'Union, Intérêts financiers de l'Union
Date : 20-02-2023
Auteur : COHEN SALOME
Directeur du mémoire : MARTUCCI FRANCESCO
Editeur : Université Panthéon-Assas - Master Droit et contentieux de l’Union Européenne (finalité indifférenciée)
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La liberté d’informer en Europe à l’aune du Media Freedom Act Lien brisé : non Droits d'accès : non autorisé
Description : Depuis la crise sanitaire du Covid-19, les atteintes à la liberté d’informer sur le continent européen s’intensifient et se transforment, s’adaptent aux nouvelles méthodes de surveillance et de répression toujours plus intrusives. Consciente de la nécessité d'une action européenne concertée de régul ...
Depuis la crise sanitaire du Covid-19, les atteintes à la liberté d’informer sur le continent européen s’intensifient et se transforment, s’adaptent aux nouvelles méthodes de surveillance et de répression toujours plus intrusives. Consciente de la nécessité d'une action européenne concertée de régulation des médias, l’Union européenne a, en mars 2024, adopté le Media Freedom Act (MFA). Le règlement a pour but de juguler le danger hybride auquel la liberté d’informer fait face : les ingérences de l’Etat sur les libertés individuelles des citoyens à s’informer et à informer, et les ingérences privées des plateformes en ligne et des actionnaires à influer sur l’information. En partant de ce constat, ce mémoire vise à évaluer l’utilité concrète du MFA. Le droit d’informer et d’être informé ainsi que le pluralisme n’avaient, avant ce règlement, pas de réelle consécration textuelle dans le droit communautaire. La question des très grandes plateformes est un enjeu central du règlement, qui vise à les inclure en tant qu'éléments essentiels de l'espace public numérique. Par leur mode d’auto-gouvernance et leur statut, il est possible d’en faire des entités quasi-publiques que le MFA cherche à responsabiliser via des mesures de transparence, sans toutefois imposer de régulation sur leurs algorithmes. Sans couvrir toute l’aire de la liberté fondamentale qu’il protège, le MFA offre aux acteurs traditionnels du monde des médias une protection notable sans rendre compte de la diversité du paysage informationnel à l’ère numérique. Une délégation du pouvoir apparaît donc comme une solution complémentaire pour valoriser l’agentivité des acteurs de l’information en leur donnant une marge d’action ex ante.
Mots clés : Liberté d'informer, Grandes plateformes en ligne, Droit à l'information, Droit de l'Union européenne
Date : 06-02-2025
Auteur : SAHUT-COURBIERES CARLOTTA
Directeur du mémoire : ILIOPOULOU ANASTASIA
Editeur : Université Panthéon-Assas - Master Droit et contentieux de l’Union Européenne (finalité indifférenciée)
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La marge nationale d'appréciation dans le contrôle du respect de la Charte des droits fondamentaux de l'Union européenne Lien brisé : non Droits d'accès : non autorisé
Description : Le traité de Lisbonne a marqué une étape fondamentale dans le processus de constitutionnalisation du droit de l’Union européenne en donnant à la Charte des droits fondamentaux toute son efficacité juridique. La Convention européenne des droits de l’Homme a d’ailleurs profondément inspiré la rédactio ...
Le traité de Lisbonne a marqué une étape fondamentale dans le processus de constitutionnalisation du droit de l’Union européenne en donnant à la Charte des droits fondamentaux toute son efficacité juridique. La Convention européenne des droits de l’Homme a d’ailleurs profondément inspiré la rédaction et l’interprétation de cette Charte. A l’instar de la Cour européenne des droits de l’Homme, la Cour de justice de l’Union européenne semble accorder aux Etats membres une marge d’appréciation pour restreindre la portée de certains droits fondamentaux. Or, cette notion de marge d’appréciation revêt un caractère ambigu car elle n’est ni définie, ni systématiquement employée dans la jurisprudence de la Cour de justice. Dès lors, toute tentative de théorisation de cet instrument est hasardeuse. Cette indétermination est regrettable car elle donne le sentiment que la marge d’appréciation est utilisée de manière totalement aléatoire et incohérente. Malgré l’hermétisme de cette notion, une analyse approfondie de la jurisprudence de la Cour de justice permet d’en révéler les contours. De cette étude, ressortent notamment deux axes principaux à savoir la fonction de la marge d’appréciation et la délimitation de ladite marge. Ces deux idées se retrouvent également dans la jurisprudence de la Cour européenne des droits de l’Homme mais elles n’ont pas pour autant un contenu identique. En effet, la Cour de justice semble élaborer sa propre conception de la marge d’appréciation afin de l’adapter à la spécificité de l’Union européenne.
Mots clés : Charte des droits fondamentaux de l'Union européenne, Marge nationale d'appréciation, Restrictions des droits fondamentaux, Fédéralisme européen, Identité constitutionnelle
Date : 30-06-2022
Auteur : RICO LEA-MARIE
Directeur du mémoire : DUBOUT EDOUARD, PICOD FABRICE
Editeur : Université Panthéon-Assas - Master Droit et contentieux de l’Union Européenne (finalité indifférenciée)
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La recevabilité des recours en annulation formés par les entreprises en matiére d'aide d'état Lien brisé : non Droits d'accès : non autorisé
Description : Les règles processuelles du contentieux des aides d’État n’ont eu de cesse de se developper, afin d’assurer un contrôle juridictionnel approprié pour survivre aux multiples crises économiques, financières et politiques. À cette fin, l’accès aux juges se devait d’être solidement fondé sur un système ...
Les règles processuelles du contentieux des aides d’État n’ont eu de cesse de se developper, afin d’assurer un contrôle juridictionnel approprié pour survivre aux multiples crises économiques, financières et politiques. À cette fin, l’accès aux juges se devait d’être solidement fondé sur un système complet de voies de droit et sur la protection juridictionnelle effective. Ainsi, au regard d’une jurisprudence de la Cour de justice de l’Union européenne fluctuante et en mal de clarification, une réflexion sur la recevabilité des recours en annulation formés par les entreprises en matière d’aide d’État s’impose. Les entreprises n’étant pas destinataires des décisions de la Commission en matière d’aide d’État, elles doivent remplir des conditions très strictes de recevabilité pour se pourvoir en annulation de ces décisions devant la Cour. Pour autant, elles sont au coeur de la pratique des aides d’État. Il est donc nécessaire que le juge trouve un équilibre entre : - la mise en place de conditions strictes qui conduisent à reconsidérer la protection juridictionnelle effective des entreprises ; - et l’assouplissement de ces conditions qui peut entraîner un engorgement de la Cour et ainsi remettre en cause, le droit à être jugé dans un délai raisonnable et de manière plus générale, le système juridictionnel de l’Union. Cette question apparaît comme l’un des grands enjeux de la Cour qui est accentué par la crise sanitaire et économique découlant du COVID-19. Par conséquent, il est certain que des évolutions et une clarification devront être adopté pour éclaircir la jurisprudence de la recevabilité des recours en annulation formés par les entreprises en matière d’aide d’État.
Mots clés : Aides d'Etat, Recours en annulation, Entreprise, Protection juridictionnelle effective, Contentieux
Date : 02-12-2020
Auteur : EUMONT LAURA
Directeur du mémoire : PICOD FABRICE
Editeur : Université Panthéon-Assas - Master Droit et contentieux de l’Union Européenne (finalité indifférenciée)
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Les produits de santé en droit européen de la concurrence Lien brisé : non Droits d'accès : non autorisé
Description : Décrivant les raisons qui président à l’étude juridique et économique du produit de santé, Emmanuel Cadeau gageait que « les chocs qui peuvent ainsi naître de la rencontre des logiques économiques et sanitaires dans le domaine du médicament expliquent que ce bien de santé constitue un objet de droit ...
Décrivant les raisons qui président à l’étude juridique et économique du produit de santé, Emmanuel Cadeau gageait que « les chocs qui peuvent ainsi naître de la rencontre des logiques économiques et sanitaires dans le domaine du médicament expliquent que ce bien de santé constitue un objet de droit ». Une fois dépassé l’antagonisme ontologique entre logique sanitaire, plaçant les produits de santé hors des lois du marché, et logique commerciale, demeure une foule de questionnements quant à l’agencement de ces paradigmes dans le cadre de l’application du droit européen de la concurrence. L’équation à plusieurs variables incarnée par la délimitation des marchés de produits de santé cristallise simultanément les efforts des autorités de concurrence et les démérites d’une grille de lecture des marchés offerte par la soft law européenne, qui par sa formulation et sa vocation universaliste se révèle propice à une invisibilisation partielle des spécificités des produits étudiés. La volonté des autorités de concurrence de pleinement comprendre les tenants et les aboutissants de ces marchés est supplantée par les velléités hégémoniques du droit européen de la concurrence. Les autorités procèdent ainsi à une lecture téléologique des spécificités des produits de santé pour les besoins de l’analyse concurrentielle, occultant parfois certaines contraintes techniques et réglementaires constitutives de l’essence même du produit. Reste que ces autorités retranscrivent fidèlement, dans le cadre de la délimitation des marchés géographiques, la stratification et l’amoncellement des réglementations sanitaires nationales et européennes applicables à ces produits. L’hétérogénéité et la confusion des sources des politiques sanitaires s’avèrent ainsi hostiles à l’identification d’un marché européen de produits de santé, et ce malgré d’indéniables efforts de décloisonnement des marchés nationaux par les acteurs économiques. Un mouvement d’adaptation réciproque s’effectue au stade de l’identification et de la sanction des pratiques touchant les produits de santé. Les autorités européennes de concurrence montrent une mobilisation exemplaire de la plasticité des concepts édictés par les articles 101 et 102 TFUE afin d’accueillir la multiplicité des pratiques commerciales atypiques touchant les produits de santé. Plus encore, la pratique décisionnelle des autorités met en lumière une mutation des concepts du droit européen de la concurrence au contact de ces objets d’étude. La prise en compte des enjeux de santé publique demeure néanmoins fragile au stade de la sanction des pratiques. Si cette singularité justifie le recours extensif à l’arsenal sanctionnateur et correctif des autorités de concurrence, le préjudice humain et sanitaire, extra-concurrentiel par nature, peine à être pleinement et uniformément intégré dans le calcul des sanctions pécuniaires. L’interpénétration de ces deux champs d’étude s’étend au-delà de la praxis et mène les autorités de concurrence à réfléchir, dans le contexte de la crise sanitaire, à leur rôle réel sur les marchés de produits de santé. La force conciliatrice des autorités appliquant le droit européen de la concurrence, fondée sur leurs prérogatives propres et leurs réactions face à la crise sanitaire, transcende la dichotomie entre régulation et contrôle de la concurrence et les révèle comme de véritables autorités de régulation en puissance sur les marchés de produits de santé.
Mots clés : Produits de santé, Droit pharmaceutique, Médicament, Concurrence, Santé, Substituabilité, Covid
Date : 02-12-2020
Auteur : HOUILLON-LEONIS
Directeur du mémoire : CLAUDEL EMMANUELLE
Editeur : Université Panthéon-Assas - Master Droit et contentieux de l’Union Européenne (finalité indifférenciée)
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