Fiche descriptive
Le consentement au prélèvement d’organes destinés à la transplantation aux Etats-Unis et dans l’Union européenne (Document en Français)
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Auteur(s) : Lebret, Audrey
Directeur du mémoire : DECAUX EMMANUEL
Éditeur(s) : Université Panthéon-Assas - Master Droits de l’homme et droit humanitaire
Date de création : 01-01-2011
Description : « Droit suprême de l’être humain », le droit à la vie est consacré tant par les textes internationaux que nationaux. Son existence et sa protection sont en effet le préalable à l’exercice des autres droits de l’Homme. Ses contours sont pourtant incertains. Si les actes y portant atteinte sont unanimement condamnés, tels que l’homicide, les traitements inhumains ou dégradants, les obligations positives qu’il met à la charge des États suscitent plus de débats. Le Cour européenne et le comité des droits de l’Homme s’accordent pour reconnaître à l’État l’obligation de protéger la vie de ses ressortissants, ce qui a des impacts sur la protection de la santé. Ainsi la Cour européenne reconnaît-elle notamment l’obligation positive des États de protéger ses ressortissants contre les risques de maladie, contre les négligences médicales et assure une protection de la santé des détenus. Mais face à l’augmentation du nombre de patients sur liste d’attente, peut-on revendiquer un droit à la greffe ? En effet, comment prétendre à l’existence d’un droit dont l’existence est aujourd’hui dépendante non de l’État mais de la solidarité humaine ? Il semble que le rôle de l’État ne puisse que se limiter à la garantie que les organes prélevés soient effectivement transplantés lorsque des receveurs sont compatibles.
Mots-clés libres : Don d'organes, Etats-Unis, Union européenne
Directeur du mémoire : DECAUX EMMANUEL
Éditeur(s) : Université Panthéon-Assas - Master Droits de l’homme et droit humanitaire
Date de création : 01-01-2011
Description : « Droit suprême de l’être humain », le droit à la vie est consacré tant par les textes internationaux que nationaux. Son existence et sa protection sont en effet le préalable à l’exercice des autres droits de l’Homme. Ses contours sont pourtant incertains. Si les actes y portant atteinte sont unanimement condamnés, tels que l’homicide, les traitements inhumains ou dégradants, les obligations positives qu’il met à la charge des États suscitent plus de débats. Le Cour européenne et le comité des droits de l’Homme s’accordent pour reconnaître à l’État l’obligation de protéger la vie de ses ressortissants, ce qui a des impacts sur la protection de la santé. Ainsi la Cour européenne reconnaît-elle notamment l’obligation positive des États de protéger ses ressortissants contre les risques de maladie, contre les négligences médicales et assure une protection de la santé des détenus. Mais face à l’augmentation du nombre de patients sur liste d’attente, peut-on revendiquer un droit à la greffe ? En effet, comment prétendre à l’existence d’un droit dont l’existence est aujourd’hui dépendante non de l’État mais de la solidarité humaine ? Il semble que le rôle de l’État ne puisse que se limiter à la garantie que les organes prélevés soient effectivement transplantés lorsque des receveurs sont compatibles.
Mots-clés libres : Don d'organes, Etats-Unis, Union européenne
Type : Dissertation
Format : Document PDF
Format : Document PDF
Entrepôt d'origine :
Identifiant : univ-pantheon-assas-ori-1672
Type de ressource : Ressource documentaire
Identifiant : univ-pantheon-assas-ori-1672
Type de ressource : Ressource documentaire