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La femme dans le procès romain (Document en Français)
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Modalités de diffusion de la thèse :
  • Thèse consultable sur internet, en texte intégral.
 
Informations sur les contributeurs
Auteur : Miranda Federica
Miranda, Federica

Nom
Miranda

Prénom
Federica

Nationalité
Italien



Date de soutenance : 07-12-2018

Directeur(s) de thèse : Chevreau Emmanuelle
Chevreau, Emmanuelle

Nom
Chevreau

Prénom
Emmanuelle


- Cascione Cosimo
Cascione, Cosimo

Nom
Cascione

Prénom
Cosimo




Etablissement de soutenance : Paris 2
Paris 2

Nom
Paris 2


- Università degli studi di Napoli Federico II
Università degli studi di Napoli Federico II

Nom
Università degli studi di Napoli Federico II



Ecole doctorale : École doctorale histoire du droit, philosophie du droit et sociologie du droit (Paris)
École doctorale histoire du droit, philosophie du droit et sociologie du droit (Paris)

Nom
École doctorale histoire du droit, philosophie du droit et sociologie du droit (Paris)



 
Informations générales
Discipline : Histoire du droit
Classification : Droit

Mots-clés libres : Femme, Procès, Témoignage, Défense judiciaire, Condition de défenseur, Femmes juges, Femmes défendeurs, Crimes féminins, Crime résultant de la consommation de vin
Mots-clés :
  • Femmes -- Statut juridique (droit romain)
  • Criminelles - Rome
  • Femmes - Et le droit romain
  • Procès - Rome
  • Consommation d'alcool - Rome
Résumé : Le rôle de la femme dans le procès peut être ramené à trois domaines : le témoignage, la défense judiciaire et la condition de défendeur.Selon l’opinion commune, la femme ne pouvait être témoin. Toutefois, cela ne coïncide pas avec la lettre des Digesta (22.5.18 ; 22.5.3.5). Ils attestent une capacité testimoniale générale de la femme, à moins qu’elle n’ait pas été condamnée en tant qu’adultère.En dépit du fait que la femme était exclue moribus des officia dits virilia (D. 50.17.2 pr.-1), il y a des témoignages de mulieres qui ont discuté des causes pro se aut pro aliis. Celles-ci sont considérées avec dédain par les auteurs anciens car l’in iudicis tacere était le seul comportement approprié à la condicio naturae de la femme.Évidemment, il n’y avait pas de place dans le monde romain pour des femmes juges. Et il est intéressant que Cassius Dion (h. R. 50.5.4) emploie cette exclusion pour démontrer à quel point la reine Cléopâtre était lointaine des mœurs romaines.La casuistique la plus large est celle des femmes défendeurs. Le modèle féminin idéal dans l’imaginaire romain est celui de la bonne épouse et mère, sobre dans les mœurs, modérée dans la parole, affable, pudique, obéissante. Sur un arrière-plan social ainsi esquissé, les crimes féminins les plus courants sont alors l’empoisonnement, l’adultère et les relations sexuelles avant le mariage. Il faut par ailleurs remarquer le crime résultant de la consommation de vin, à savoir une infraction qui est considérée comme telle seulement si son auteur est une femme. Puisque la mulier pouvait être jugée avec le système en vigueur au moment du procès
 
Informations techniques
Type de contenu : Text
Format : PDF
 
Informations complémentaires
Entrepôt d'origine : STAR : dépôt national des thèses électroniques françaises
Identifiant : 2018PA020075
Type de ressource : Thèse