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Les réseaux criminels entre logiques économiques et logiques ethno-culturelles (Document en Français)
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Modalités de diffusion de la thèse :
  • Thèse soumise à l'embargo de l'auteur : embargo illimité (communication intranet).
 
Informations sur les contributeurs
Auteur : Sartini Tony
Sartini, Tony

Nom
Sartini

Prénom
Tony

Nationalité
Français



Date de soutenance : 28-11-2018

Directeur(s) de thèse : Gohin Olivier
Gohin, Olivier

Nom
Gohin

Prénom
Olivier




Etablissement de soutenance : Paris 2
Paris 2

Nom
Paris 2



Ecole doctorale : École doctorale Georges Vedel Droit public interne, science administrative et science politique (Paris ; 1992-....)
École doctorale Georges Vedel Droit public interne, science administrative et science politique (Paris ; 1992-....)

Nom
École doctorale Georges Vedel Droit public interne, science administrative et science politique (Paris ; 1992-....)



 
Informations générales
Discipline : Science politique
Classification : Science politique

Mots-clés libres : Réseaux criminels, Criminalité organisée, Sociologie du crime, Matérialisme, Culturalisme, Ethnicité, Renseignement criminel, Politiques publiques de sécurité
Mots-clés :
  • Crime organisé - Aspect économique
  • Crime organisé - Société
  • Lutte contre la criminalité - Coopération internationale
  • Minorités
  • Sécurité nationale
  • Criminalité -- Sociologie
Résumé : La tradition criminologique conçoit volontiers le crime comme un fait individuel. A rebours de cette conception, cette thèse se propose de comprendre le crime comme un fait social et politique. Les modèles matérialistes et culturalistes classiques ont pu rendre compte des variables économiques et culturelles explicatives du crime. Pour autant, ils ont insuffisamment pris en compte ce fait fondamental que l’activité criminelle est, dans sa masse, une activité de groupe. En particulier, ils peinent à expliquer la surreprésentation des minorités -notamment ethniques- dans le crime. Un modèle sociométrique dit d’ « encastrement criminel » permet de montrer en quoi la sociabilité des minorités donne des avantages comparatifs auxdites minorités dans la criminalité organisée.Parce qu’elle est d’abord un phénomène de réseaux, la criminalité s’explique donc en comprenant les logiques économiques qui motivent les membres des réseaux criminels, mais également les logiques ethno-culturelles qui les structurent. De telles logiques sont toujours prédominantes dans le monde contemporain, marqué par la globalisation, le caractère plus virtuel des échanges, le communautarisme et le terrorisme. Ces logiques économiques et culturelles ont insuffisamment été prises en compte par les politiques publiques de sécurité en France, en particulier les politiques de la ville et de renseignement criminel. Cela tient en bonne partie au modèle français, qui peine à appréhender les logiques du crime de façon pragmatique, et à prendre en compte l’ethnicité.
 
Informations techniques
Type de contenu : Text
Format : PDF
 
Informations complémentaires
Entrepôt d'origine : STAR : dépôt national des thèses électroniques françaises
Identifiant : 2018PA020061
Type de ressource : Thèse